2 réflexions au sujet de « DOPAGE – Les excuses bidons de l’âge… »
Question autrefois les coureurs merckx Hinault avaient plus de recul de selle que maintenant et en côte avaient des braquets plus grands 42 23 au lieu de39 25 maintenant pourquoi
Au plan biomécanique, lorsqu’on est assis à l’arrière et que l’on tire gros, trois zones corporelles sont exposées à des contraintes surajoutées :
• Le périnée : aujourd’hui, pour ces deux raisons, ce mal du sport assis (les blessures de l’entrejambe) est beaucoup moins fréquent chez les géants de la route
• Les courroies de transmissions (tendons), notamment au niveau du genou, l’articulation n° 1 du cycliste, sont plus sensibles aux inflammations,
• Les lombaires : en associant assis à l’arrière + gros développement, le ‘’noyau dur’’ du disque intervertébral a tendance à pousser vers l’arrière, d’où risque de lombalgies, voire plus.
En revanche, assis plus à l’avant avec des braquets plus raisonnables, on optimise la vitesse de jambes et parallèlement les contraintes sur le périnée, les genoux et les lombaires sont moindres et, surtout, les démarrages sont plus incisifs.
Les trois articulets présentés ici déjà parus dans Cyclosport Magazine doivent vous aider à compléter votre information sur les contraintes du couple homme-machine.
Question autrefois les coureurs merckx Hinault avaient plus de recul de selle que maintenant et en côte avaient des braquets plus grands 42 23 au lieu de39 25 maintenant pourquoi
Au plan biomécanique, lorsqu’on est assis à l’arrière et que l’on tire gros, trois zones corporelles sont exposées à des contraintes surajoutées :
• Le périnée : aujourd’hui, pour ces deux raisons, ce mal du sport assis (les blessures de l’entrejambe) est beaucoup moins fréquent chez les géants de la route
• Les courroies de transmissions (tendons), notamment au niveau du genou, l’articulation n° 1 du cycliste, sont plus sensibles aux inflammations,
• Les lombaires : en associant assis à l’arrière + gros développement, le ‘’noyau dur’’ du disque intervertébral a tendance à pousser vers l’arrière, d’où risque de lombalgies, voire plus.
En revanche, assis plus à l’avant avec des braquets plus raisonnables, on optimise la vitesse de jambes et parallèlement les contraintes sur le périnée, les genoux et les lombaires sont moindres et, surtout, les démarrages sont plus incisifs.
Les trois articulets présentés ici déjà parus dans Cyclosport Magazine doivent vous aider à compléter votre information sur les contraintes du couple homme-machine.
Cyclosport Magazine n° 108, août-septembre 2015
Cyclosport Magazine n° 114, mai 2016
Cyclosport Magazine n° 116, juillet 2016