Site icon Docteur Jean-Pierre de Mondenard

Le dopage des sportifs indiffère les sponsors…

Depuis l’affaire Festina en 1998, parmi les dogmes qui perdurent, indestructibles, on entend comme une antienne que le public et les sponsors s’en foutent complètement que les sportifs se dopent. Déjà, depuis le tsunami provoqué par Richard Virenque et ses acolytes, toutes les affaires de dopage sur le Tour de France ont plombé l’audimat et pas qu’un peu : chute de ± 30% ! De même, les sponsors en règle générale ne sont pas vraiment d’accord avec le dopage sportif même si la société dans son ensemble prend des trucs pour franchir les obstacles professionnels (examens universitaires, meetings politiques, spectacles, concerts, etc.)

Quoi qu’il en soit, selon l’Equipe daté du 11 février, on vient d’apprendre « que la société Nestlé avait décidé de mettre fin à sa collaboration avec la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) sur un partenariat à destination des enfants (Kids’Athletics). La firme a précisé au Frankfurter Allgemeine Zeitung que cette décision était liée aux scandales de dopage et de corruption qui allaient à l’encontre de son image et de sa réputation. »

Donc, il ne faut plus affirmer sans nuance que les sponsors se moquent de la triche biologique. Pour plus de détails, les sceptiques peuvent s’adresser à Lance Armstrong, Marion Jones ou Ben Johnson et comptabiliser le nombre de sponsors qui leur reste. En France, les Virenque, Jalabert et autre Durand sont mieux lotis avec les télévisions hexagonales !

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