Dopage – Détection de la testostérone : depuis la mise au point d’un test spécifique les tricheurs ne peuvent plus invoquer la sécrétion naturelle

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A partir de cette date et la découverte de scientifiques français, le test IRMS dit isotopique épingle à coup sûr les fraudeurs invoquant une sécrétion endogène (naturelle). Encore faut-il qu’il soit pratiqué par les labos… Et c’est là où le bât blesse car il n’est pas effectué systématiquement : trop cher, trop long !

Une réflexion au sujet de « Dopage – Détection de la testostérone : depuis la mise au point d’un test spécifique les tricheurs ne peuvent plus invoquer la sécrétion naturelle »

  1. Merci Docteur pour ces précisions techniques. Je me rappelle aussi avoir écrit sur le cas du jeune Cyril Sabatier. A l’époque, le médecin bordelais François Bellocq, décédé prématurément, était très allant sur le sujet, et m’informait en priorité. J’étais évidemment bien incapable de démêler le vrai du faux. Ce qui interpelle dans le cas d’Andersen, c’est la répétition de sa positivité. On peut supposer qu’en cas de tricherie, il aurait rectifié le tir rapidement. Idem pour Sabatier, qui n’avait pas vraiment le profil de la « chaudière ». Eternelle suspicion…

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