Une analyse moléculaire à la fois de ses cheveux et de ceux de son conjoint de l’époque a démontré qu’elle avait été ”contaminée” par ce dernier à l’occasion d’une “transmission de fluides corporels”






Un échange de fluides corporels comme dans le cas de Laurence Vincent Lapointe a été admis comme une défense recevable devant les instances antidopage
En fichier joint (PDF) : LA – Pourquoi était-il le meilleur ? – La preuve par 13
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