Dopage – L’ostarine, un anabolisant mimant les effets ergogéniques des stéroïdes androgènes sans leurs conséquences négatives, est en passe de devenir la star des éprouvettes

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Les cas se multiplient. Le dernier en date concerne la fleurettiste tricolore Ysaora Thibus, âgée de 32 ans, vice-championne olympique par équipe à Tokyo en 2021

Dopage – Signes externes visibles et évocateurs de consommation d’amplificateurs artificiels de performance (2)

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L’examen clinique, un temps fort pour cibler un contrôle antidopage chez les sportifs ayant un comportement suspect ou un discours langue de bois

Football – Dérapage de la répression du dopage

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En 2018, positif au clostébol, le sportif était pénalisé de un an de mise à pied. En 2002, le tarif est passé à 4 ans ! Autrement dit, c’est la mort sportive pour le Nigérian Orji Okonkwo à l’âge de 24 ans !

Stéroïdes anabolisants – Contribution à la connaissance de l’hyperviolence des consommateurs d’engrais musculaires

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Un effet collatéral sous-estimé

Article paru récemment dans la revue Tempo Médical, un mensuel belge, signé par le journaliste scientifique Philippe Lambert avec la contribution du Docteur Jean-Pierre de Mondenard. Précisons – ce qui ne figure pas dans ce texte – que la RDA pendant vingt ans, de 1968 à 1988, ajoutait dans le cocktail de médocs de la performance, du piracetam (un nootropique agissant sur les fonctions intellectuelles) afin de contrôler l’agressivité des sportifs dopés.

Tempo Médical, février 2022, page 30
Tempo Médical, février 2022, page 31
Tempo Médical, février 2022, page 32

Dopage – Une joueuse de tennis prise dans les mailles du filet avec de la mestérolone, un stéroïde anabolisant androgène

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Un médicament utilisé en médecine exclusivement chez l’homme afin de combattre les troubles provoqués par une carence d’hormones testiculaires