Malgré la diffusion à grande échelle des amphétamines dans le peloton des années 1950, la pratique cycliste de haut niveau a compensé avantageusement les effets négatifs des stimulants.
Récemment, le 14 avril dernier, nous avons présenté dans ce blog une étude inédite et exclusive sur la longévité des Géants de la route du Tour 1921, ceux qui étaient actifs il y a 100 ans.
Pour les décennies suivantes, les stats montrent que le cyclisme garde son avantage
Récemment, le 14 avril dernier, nous avons présenté dans ce blog une étude inédite et exclusive sur la longévité des Géants de la route du Tour 1921, ceux qui étaient en actifs il y a 100 ans
Mais alors pourquoi les joueurs se dopent depuis des lustres…
La preuve par les textes illustrés. En particulier l’hebdo Miroir-Sprint paru le 9 mars 1964, pages 28-29
Miroir-Sprint 1964, n° 927, 9 mars, page 28
Miroir-Sprint, 1964, n° 927, page 29
Actuellement, la lutte antidopage internationale (AMA), peut-elle nous expliquer pourquoi les tests positifs sont si peu nombreux dans le foot mais aussi dans tous les autres sports hypermédiatisés tels que le rugby, le tennis, le golf, la F1, la voile… Poser la question laisse entrevoir la réponse.
AMA : Agence mondiale antidopage (fondée en 1999) – Texte et illustrations Copyright : dopagedemondenard.com
Document unique réalisé à partir des actes officiels des mairies. Jamais publié à ce jour dans aucun des multiples ouvrages consacrés au Tour de France, notamment ceux du journal L’Equipe.
Homme du Tour, endurant et résistant mais sans pointe de vitesse, Scieur termina 14e en 1914 puis deux fois 4e en 1919 et 1920 pour remporter enfin la palme en 1921 avec deux victoires d’étape. Dans la 10e – Nice-Grenoble qu’il remporte – il repousse son principal adversaire, Hector Heusghem, un compatriote, à près de 22 minutes au général.