Antidopage – L’Agence mondiale (AMA), une organisation au service de l’injustice

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Une dictature qui, en raison de sa main mise sur la liste rouge, fait condamner sans preuve un footballeur pendant deux ans

Antidopage – Une casserole de plus pour l’AMA accusée par l’Académie nationale de pharmacie de déclassifier les drogues récréatives

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Adressant ainsi un message hypernégatif à la jeunesse sportive

Pour son incompétence chronique, l’Agence mondiale antidopage est de plus en plus la cible des critiques

Dopage – Higénamine : deux poids, deux mesures. Un footballeur, Mamadou Sakho, testé positif à ce bêtastimulant est relaxé avec “les excuses financières” de l’Agence mondiale antidopage !

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En revanche, un basketteur indien – Satnam Singh Bhamara ayant exercé en NBA – testé positif à la même molécule, est mis à la porte des parquets pendant deux ans, jusqu’au 18 novembre 2021.

Antidopage – CIO, AMA et satellites sanctionnent des sportifs n’ayant pas triché sans se préoccuper des dégâts collatéraux sur la suite de leurs carrières

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Face au faible nombre de violation des règles antidopage épinglé par leurs labos, pour faire nombre, les instances s’acharnent à sanctionner lourdement des faux positifs innocents.

Et pourtant, à ma connaissance, aucun n’a eu un suivi psychologique face au déshonneur d’être qualifié injustement de dopé, de même la plupart n’ont pas été indemnisés par les gendarmes du sport propre. Laissez passer des tricheurs, ce n’est pas très professionnel mais sanctionner des innocents, c’est insupportable ! Pourtant, les responsables d’une telle bévue ne sont jamais mis à la porte. En dehors de l’affaire Froome du Tour d’Espagne 2017 – le coureur britannique n’a jamais été indemnisé par l’UCI et l’AMA – nous allons passer en revue quelques cas exemplaires de casseroles de la lute antidopage. Liste loin d’être exhaustive !