Natation – Lia Thomas, un homme transformé en ondine, perturbe la cohérence des articles de presse

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CONTRIBUTION AU DECRYPTAGE DES AVANTAGES naturels et incontestables des transgenres féminins et hyperandrogènes

Un journaliste de L’Equipe sans aucune compétence sur la question, rédige une page du quotidien sportif dans laquelle nous n’apprenons strictement rien sur les avantages morphologiques et biologiques d’une telle métamorphose (chirurgie plus hormones)

Marathon de Paris – Les mots pour le dire ou le champ lexical de la course de fond

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En pastichant le philosophe Arthur Comte, on peut écrire à propos du marathon : “On ne connaît bien une course que si l’on connaît son passé” ainsi que le jargon des macadams-runneurs.

CONTRIBUTION AU DECRYPTAGE du champ lexical de la course à pied de fond

Médecine de la performance – Les pointes de feu ont précédé les injections d’anesthésiques et de glucocorticoïdes sur les sportifs du Tour de France

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Contribution au décryptage de l’histoire de la médecine haute performance

Exemple : le service médical du Tour de France 1947

Le premier médecin officiel qui a suivi la Grande Boucle est apparu sur le Tour 1949.  Jusque-là, les soins des Géants de la Route étaient assurés par Henri Manchon, un ‘‘praticien’‘ autoproclamé, sans cursus médical. Les pointes de feu faisaient partie de son arsenal thérapeutique. D’ailleurs, lors de la 34e édition après sept ans d’arrêt pour cause de conflit mondial, le quotidien L’Equipe – né le 28 février 1946 – dans sa livraison du 05 juillet 1947 fait la promotion des pointes de feu, une méthode pour le moins barbare.

 

Cyclisme – Défaillances après l’effort dans l’aire d’arrivée

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En dehors du cas de Sonny Colbrelli – malaise cardiaque juste après avoir franchi la ligne – les coups de moins bien – sitôt l’arrivée ou dès la fin d’un entraînement sévère sans période de décélération – existent et peuvent dépendre entres autres d’une syncope liée à l’arrêt de l’effort, d’une hypoglycémie, d’un coup de froid ou… d’une quinte de toux exacerbée.

 

Cyclisme – Participer à une compétition pour jouer la gagne alors que l’on est fiévreux, c’est prendre le risque que le coeur déraille…

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Le cas récent de Sonny Colbrelli est là pour nous rappeler qu’il vaut mieux s’abstenir  de forcer au décours d’une maladie infectieuse, surtout de type viral.

Le Belge Olivier Naesen rappelait que dans Paris-Nice, Sonny Colbrelli avait pris le départ de la Course au Soleil alors qu’il était malade. Dès la 2e étape, le coureur de la Bahrain Victorius était non-partant. Dans le journal Het Nieuwsblad, le classicman de l’équipe AG2R Citroën considérait que le dernier lauréat de Paris-Roubaix avait pris des risques : “Je savais que Colbrelli avait la grippe le premier jour de Paris-Nice et qu’il avait couru avec de la fièvre.” Dans la foulée de son abandon, Colbrelli a décidé de s’abstenir de participer à Milan-Sanremo, le premier Monument de la saison prévu treize jours plus tard, le 19 mars. Précisions que la grippe peut laisser des ”traces” plusieurs semaines après l’épisode initial.

Infiltrations – Piqûre de rappel sur les dérapages de la compétition

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où les injections antalgiques en nombre ont débuté dans les vestiaires des années 1950 et vingt ans plus tard le relais a été pris par les piquouzes de glucocorticoïdes

Contribution au décryptage des arcanes de la triche biologique

Très récemment, un joueur de foot a été amputé de la jambe droite, sous le genou, en raison de multiples infiltrations de glucocorticoïdes effectuées par des médecins. A propos de ce cas dramatique, en lisant la presse – notamment Le Parisien – on apprend d’un thérapeute exerçant à l’Insep depuis 1988 que cette pratique est “d’abord très culturellement implantée chez les Anglo-Saxons. En France, ce n’est pas quelque chose qui se pratique n’importe comment et qui n’est surtout pas automatique.” En contradiction avec cette vision optimiste, nous rapportons deux cas authentiques datant des années 1960 en France. L’un dans le foot, l’autre dans le rugby. Même si le produit en cause est un anesthésique et non un glucocorticoïde, le principe est le même : grâce à une ”piquouze miraculeuse” le seul but est de faire jouer un footballeur ou un rugbyman dont le corps n’a du tout envie d’être sur le terrain. Ce n’est pas de la thérapeutique. Aucun livre de médecine ne préconise ce geste dans l’environnement d’un match car cela s’apparente à du dopage.

 

Glucocorticoïdes – Un joueur de foot, Bruno Rodriguez, un ancien du PSG, amputé de la jambe droite pour surdose d’infiltrations pendant sa carrière (selon la presse)

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CONTRIBUTION AU DECRYPTAGE DES ARCANES DE LA TRICHE BIOLOGIQUE

Dans la presse de ces derniers jours : Le Parisien, L’Indépendant, L’Equipe, So Foot, etc. nous apprenons que Bruno Rodriguez, l’ancien joueur de foot professionnel de 1991 à 2006, a été amputé sous le genou droit le 08 mars dernier dans une clinique de Nancy. Selon Le Parisien, l’ancien buteur souffrait de douleurs chroniques invalidantes dues à des infiltrations subies durant sa carrière. Le quotidien national ajoute que Rodriguez avait déjà été opéré de la cheville, sans résultat.

Dopage féminin – Comme pour les hommes, les excuses-bidon prédominent !

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La cycliste professionnelle Marion Sicot en attente d’un jugement pour diffamation et d’une sanction sportive alourdie pour dopage à l’EPO, avait, dès son contrôle positif le 27 juin 2019, nié le dérapage intentionnel en raison de ses valeurs morales d’éducatrice et expliqué la présence d’EPO en excès dans son corps par la concomitance de ses règles le jour du prélèvement.