Cyclisme – Tramadol – L’UCI ne fait pas de la prévention antichute puisque les cas positifs détectés ne sont révélés par l’instance que plusieurs semaines après la course

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Le cycliste consommateur de tramadol dans un grand Tour peut, pendant plusieurs étapes, envoyer dans le décor ses collègues sans que la réglementation antitramadol n’ait pu empêcher la moindre gamelle.

Cyclisme – Tramadol – Le Tribunal arbitral du sport ne croit pas à la défense de Nairo Quintana et maintient sa disqualification du dernier Tour de France

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Comme la quasi-totalité des épinglés par la patrouille antidopage, Quintana affirme qu’il n’a jamais absorbé cette substance, le tramadol. Problème : ce n’est pas par une hyperventilation, même dans un col, que ce médicament antalgique pénètre dans le sang.

Dopage féminin – Comme pour les hommes, les excuses-bidon prédominent !

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La cycliste professionnelle Marion Sicot en attente d’un jugement pour diffamation et d’une sanction sportive alourdie pour dopage à l’EPO, avait, dès son contrôle positif le 27 juin 2019, nié le dérapage intentionnel en raison de ses valeurs morales d’éducatrice et expliqué la présence d’EPO en excès dans son corps par la concomitance de ses règles le jour du prélèvement.

Dopage – Télévision et triche biologique : des liaisons dangereuses

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Prévention – Les chaînes de télévision sont-elles légitimes pour dénoncer le fléau et diffuser des programmes contribuant à mettre en garde les sportifs alors que la médiatisation fait partie des deux principales causes de la consommation de substances illicites ?

D’après l’Arcom (ex-CSA), entre le 1er janvier 2020 et le 29 juillet 2021, L’Equipe 21 n’a diffusé aucun programme contribuant à la lutte contre le dopage alors que c’est une obligation législative depuis le 17 mai 2017.

Antidopage – Les ratés inadmissibles de la prévention et le silence assourdissant du contrepouvoir de la presse !

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Histoire d’une injustice cent pour cent intolérable 

Alors que les laboratoires Servier et un pharmacien d’officine n’ont pas fait leur job, un lutteur a pris quatre ans ferme de suspension pour un produit non dopant (pas la moindre preuve scientifique d’un effet boostant – même minime – sur la performance) et bien qu’il ait été induit en erreur à la fois par les laboratoires Servier et l’apothicaire.