Dopage – Télévision et triche biologique : des liaisons dangereuses

Par défaut

Prévention – Les chaînes de télévision sont-elles légitimes pour dénoncer le fléau et diffuser des programmes contribuant à mettre en garde les sportifs alors que la médiatisation fait partie des deux principales causes de la consommation de substances illicites ?

D’après l’Arcom (ex-CSA), entre le 1er janvier 2020 et le 29 juillet 2021, L’Equipe 21 n’a diffusé aucun programme contribuant à la lutte contre le dopage alors que c’est une obligation législative depuis le 17 mai 2017.

Dopage – Rugby Mag, la revue fédérale, toujours aphone sur la triche biologique

Par défaut
[09 mars 2017]

C’est ce qu’on appelle un silence assourdissant ou, autrement dit, une énième « valeur du rugby »

Le numéro de mars du magazine de la Fédération française de rugby vient de sortir et toujours aucun commentaire sur les affaires de dopage ayant secoué l’ovalie depuis octobre dernier (corticoïdes, higénamine, cocaïne).

Pas de mise en garde sur les dangers de ces produits ; aucune information de prévention sur les compléments alimentaires et les risques d’un contrôle antidopage positif avec toutes les conséquences psychologiques d’un tel avatar pour le joueur.

Cela fait donc six numéros de Rugby Mag – d’octobre à mars – et 324 pages sans informations sur le fléau n° 1 de la triche biologique de notre société hypermédicalisée.

En conclusion, on peut s’interroger : que font la Fédé, son président et ses médecins ?

Poser la question c’est y répondre.

RUGBY

Rugby Mag, revue fédérale, mars 2017

Cyclisme : tous dopés ? La réponse des acteurs

Par défaut

Dans le milieu du vélo, deux camps s’affrontent. Les uns nient obstinément l’existence de la triche biologique au sein du peloton alors que les autres, de plus en plus nombreux depuis les années 2000, à l’inverse, admettent que la dope fait partie intégrante des accessoires de la panoplie du géant de la route. Nous avons sélectionné et partagé en deux teams, les avis de personnalités du cyclisme et quelques autres responsables concernés par ce problème majeur de l’éthique sportive.

Curieusement, dans le groupe de la langue de bois, on trouve les « maîtres » de l’UCI, les présidents de fédération et certains journalistes. A la réflexion, ce n’est pas surprenant car la nature humaine est ainsi faite qu’elle met toujours en avant, pour se faire mousser, les valeurs de son sport tout en niant mordicus les dérives et comme la triche est consubstantielle à l’homme, ce document confirme ce que les experts indépendants du milieu clamaient haut et fort depuis les années 1950.

LIBRES-ECHANGES – Le dopage des cyclistes