Tout savoir sur le Tour 1924 – Sont abordés les différents aspects de la plus grande épreuve cycliste au monde avec documents d’époque et illustrations.
Récemment, fin octobre, ASO et Christian Prudhomme, au Palais des Congrès, Porte Maillot à Paris, présentaient le parcours de la prochaine édition de la Grande Boucle. Retour sur le vainqueur de la Randonnée de juillet 1924 qui exerçait son métier de coureur cycliste à l’époque des Forçats de la Route
sur sa santé ”insolente”; sa longévité cycliste surprenante et son suivi médical permanent. (3e volet sur la saga J.A)
De nombreux experts auto-proclamés, afin de minimiser l’impact de sa consommation de médocs de la performance sur sa santé, vantent la longévité exceptionnelle de son parcours cycliste. Aussi, nous avons – du quintuple lauréat du Tour – repris et commenté les écrits centrés sur les items suivants : santé, longévité, suivi médical face au dopage avéré.
Cette période, l’une des plus riches en champions cyclistes d’exception, était dominée par la consommation d’amphétamines et apparentés. Fausto Coppi, le campionissimo italien, en fut le starter et l’exemple à suivre pour ses condisciples de la pédale en raison de ses exploits à répétition et de l’usage assumé et régulier de stimulants pharmaceutiques.
Dans notre série consacrée aux étapes de montagne, et alors que le Tour d’Espagne aux nombreuses ascensions aux profils indigestes pour la plupart des cyclistes, mobilise les passionnés de la petite reine devant leurs écrans, rien de mieux que des chiffres et des pourcentages pour appréhender l’effort des cadors de la pente que sont le Belge Remco Evenepoel, le Slovène Primoz Roglic et le Danois Jonas Vingegaard.
Différents auteurs font passer le grimpeur espagnol pour un tire-au-flanc, un coureur lunatique, un fantaisiste, un comédien-né… d’autres expliquent que son renoncement est dû à un coup de chaleur, un mal au ventre, un coup de mou, une chute la veille, voire sans raison !
Surnommé l’Aigle de Tolède pour son aptitude à s’envoler dans les ascensions mythiques du Tour de France, il avouait d’ailleurs que son grand plaisir de cycliste, il le prenait en grimpant : “C’est là que je me fatiguais le moins…”