Surnommé Le Géant de La Mure en raison de son gabarit (1,85 m / 82 kg) inhabituel chez les Géants de la Route des années 1960, il s’est surtout fait remarquer en tant qu’équipier de luxe de Jacques Anquetil et Jean Stablinski.
Il y a quelques jours, nous avons publié un texte opposant Jacques Anquetil et Laurent Fignon sur la réalité de l’impact des stimulants dans le palmarès des Géants de la route.
Mais quels sont les propres arguments des médecins, défenseurs de l’équité sportive, face à la réalité du dopage ? Les radars des laboratoires analytiques étant peu sensibles, les toubibs – pour dissuader – prônent à la fois l’inefficacité et la dangerosité… sans preuve scientifique.
Décrytpage.
Document démontrant qu’une partie du corps médical est adepte de la médecine au service de la performance et non de la prévention de la santé
L’un remporte cinq Tours de France et deux Tours d’Italie, l’autre deux Tours de France et un Tour d’Italie. Le second estimait ”qu’elles n’avaient jamais bousculé la hiérarchie”, le premier qu’elles lui donnaient – dans l’effort solitaire – un avantage de plus de… 3 minutes sur 86,6 kilomètres !
Rappelons que pendant leurs carrières respectives (Anquetil de 1953 à 1969 et Fignon de 1982 à 1993), le Normand démontrait que, sur lui-même, le rendement d’un cycliste était amélioré par les amphets alors que le Parisien, après sa carrière, dénonce l’inefficacité de ces mêmes produits pour transformer un second couteau en premier de cordée.
Destinées à maîtriser avec certitude les aléas du résultat
Faisant suite à un article publié sur ce blog le 20 avril dernier relatif à quelques arrangements dans le “money time” avec dans le premier rôle Felice Gimondi, plusieurs lecteurs se sont exprimés sur le sujet de la corruption au sein du peloton des Rois de la Pédale.
Pour l’occasion, nous complétons la saga des marchandages pour s’assurer au moins le podium avec comme préférence la plus haute marche