Plusieurs envoyés spéciaux présents sur la route de la 57e édition du Tour commentent la défaillance respiratoire du leader de la course quelques instants après que Le Cannibale ait franchi le sommet de l’obstacle où se situait la ligne d’arrivée de la 14e étape. Certains parmi eux rendent responsables la meute de photographes et de journalistes l’entourant à sa descente de vélo, l’empêchant de récupérer. D’autres, tels Jacques Goddet, parlaient d’un état comateux, voire d’une syncope.
L’Enfer du Nord et ses dérapages incontrôlés expose à de lourdes chutes provoquant dermabrasions étendues, contusions, plaies, fractures. Le jeune coureur Lewis Askey du Team Groupama-FDJ, grâce à son interview parue dans L’Equipe du 18 avril dernier, nous propose un bon exemple de l’absurdité de continuer la course malgré une plaie étendue et sanguinolente du genou gauche, pour terminer… 42e à 11’51 du vainqueur Dylan Van Baarle.
Auscultation d’une épreuve plus que centenaire ayant vu le jour en 1913
Tous les ”plus” : les lauréats récidivistes, les plus grands, les plus lourds… et le portrait robot du probable lauréat 2021 établi à partir des vainqueurs des 104 éditions, de 1913 à 2020
Destinées à maîtriser avec certitude les aléas du résultat
Faisant suite à un article publié sur ce blog le 20 avril dernier relatif à quelques arrangements dans le “money time” avec dans le premier rôle Felice Gimondi, plusieurs lecteurs se sont exprimés sur le sujet de la corruption au sein du peloton des Rois de la Pédale.
Pour l’occasion, nous complétons la saga des marchandages pour s’assurer au moins le podium avec comme préférence la plus haute marche