Destinées à maîtriser avec certitude les aléas du résultat
Faisant suite à un article publié sur ce blog le 20 avril dernier relatif à quelques arrangements dans le « money time » avec dans le premier rôle Felice Gimondi, plusieurs lecteurs se sont exprimés sur le sujet de la corruption au sein du peloton des Rois de la Pédale.
Pour l’occasion, nous complétons la saga des marchandages pour s’assurer au moins le podium avec comme préférence la plus haute marche
Nous vous proposons l’histoire de deux champions cyclistes, Raphaël Geminiani et Fausto Coppi qui, lors d’une compétition en Afrique de l’Ouest, sont tous deux contaminés par un parasite provoquant le paludisme.
Le premier soigné à la Nivaquine (chloroquine) s’en sort mais le second traité à la cortisone ne peut être sauvé.
Avec les éditions Mareuil qui publient cet ouvrage, on est déjà habitué aux bouquins sur le vélo dont la réalité des faits rapportés laisse à désirer.
Coppi par Coppi, éd. Mareuil 2017
Vient de sortir en librairie un livre à la gloire de Fausto Coppi, le géant des géants de la pédale, signé par son fils Faustino – qui avait cinq ans au moment de la disparition de son père – et du journaliste, professeur de l’histoire de l’art, Salvatore Lombardo « auteur de plusieurs livres sur le cyclisme« . En réalité, celui sur Fausto n’est que le deuxième. Ce qui m’intéresse quand je lis un livre sur un champion, c’est d’avoir des infos sur l’entraînement, la nutrition, les soins ; c’est-à-dire la vraie vie de ce champion et non des histoires romancées. Quelques exemples de faits »tordus » par les auteurs.
Fausto Coppi, Tour de France 1952 – Un morphotype fait pour pédaler : petit buste et grands segments