Tour de France – Rayon lecture : Le Tour Le Dico

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Par François Thomazeau – édition en exergue, 2021

Le problème XXL de François Thomazeau, l’auteur de l’ouvrage sur la Grande Boucle Le Tour Le Dico, ce n’est pas ce qu’il ignore, c’est tout ce qu’il écrit et qui est faux.

François Thomazeau – Le Tour Le Dico, éd. en exergue, 2021

Cyclisme – Rayon lecture : Le Tour de France à l’heure nationale 1930-1968

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Par Fabien Conord, éditions Presses universitaires de France (PUF)

Trop d’erreurs dues à une relecture bâclée associées à des carences sur l’histoire de la Grande Boucle. Pourtant l’auteur est historien et l’ouvrage a été publié sous le contrôle de trois directeurs scientifiques. Finalement, un résultat du même niveau que ceux signés par des journalistes de sport.

Fabien Conord – Le Tour de France à l’heure nationale – éd. Presses universitaires de France (Puf), 2014

Tour de France ton histoire – 1948 : l’interprétation par Raoul Rémy du sermon sur la montagne de l’évêque de Lourdes est-elle brodée de A à Z ?

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Cette célèbre anecdote, reprise à l’infini dans tous les ouvrages consacrés à la petite histoire du Tour de France, a souvent été racontée de façon totalement fantaisiste, le plus souvent par des historiens autoproclamés.

L’une d’entre elles, très romancée par Raphaël Géminiani, est colportée sans vérification de la source, par un historien exerçant à l’université de Clermont-Ferrand.

Dopage ton histoire – Les fausses pistes des pseudo-historiens du cyclisme… en boucle

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Ou comment l’histoire des faits est réécrite en permanence par des ignorants XXL se laissant berner par des témoins-bidons sans s’appuyer sur les dépêches officielles de l’époque concernée. Un bel exemple nous est proposé par l’histoire réinterprétée du contrôle positif aux amphétamines de Jean Stablinski lors du Tour de France 1968.

Livres de sport – Les forçats du plagiat… en boucle !

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Les compilateurs (journalistes, scientifiques, spécialistes autoproclamés…) adeptes des plagiats ont tendance à privilégier les informations qui vont dans le sens de leurs hypothèses (biais de confirmation) en oubliant sciemment de mentionner le nom du véritable auteur du texte  »pompé ».

A plusieurs reprises, il m’est arrivé de constater que des résultats d’études personnelles publiées sous mon nom étaient repris par d’autres qui, sans vergogne, s’en attribuaient la paternité. Ou alors comme Claude Joseph, l’auteur de Dopage dans le milieu cycliste paru récemment, reproduisait un commentaire du Dr JPDM signé par un autre.