Cyclisme – 4e classique-Monument 2023 : Liège-Bastogne-Liège, les trois marches sélectionnent les petits gabarits qui passent mieux les bosses et résistent au froid

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Sur le podium de Liège-Bastogne-Liège (LBL), les gabarits du trio de tête sont sensiblement inférieurs à ceux des lauréats des quatre autres classiques-Monuments (cf tableau).

Livre – Retour sur la biographie de Richard Gasquet, riche en controverses

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Dans ce blog, après avoir commenté la dérive des infiltrations pratiquées dans le tennis de haut niveau – autorisées sur les courts mais prohibées chez les cyclistes en phase de compétition – ainsi que le contrôle positif à la cocaïne du Biterrois, dû probablement à une contamination passive à son insu (il a été innocenté par le TAS), aujourd’hui nous abordons le physique des tennismen en constante évolution morphologique. De ”X”, ils sont passés à ”XXL” ! Compte tenu du parcours de Richard Gasquet, ayant débuté sa carrière professionnelle en 2002, depuis vingt ans il a vécu l’évolution de l’environnement, du jeu lui-même et de la taille des joueurs.

Tour de France 2022 – Bilan exclusif et calibré de la 109e édition. “Les chiffres JPDM” : un plus pour analyser et comprendre la Grande Boucle

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Il est courant de dire qu’il y a – selon la formule du romancier Max Twain – trois sortes de mensonges : “Les mensonges, les sacrés mensonges et les… statistiques”. Etant complètement d’accord avec cette métaphore, je ne crois qu’à mes propres chiffres.

Tour des Flandres – Le morphotype d’un cador du Ronde bascule au décours des années 2000

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Auscultation d’une épreuve plus que centenaire ayant vu le jour en 1913

Tous les ”plus” : les lauréats récidivistes, les plus grands, les plus lourds… et le portrait robot du probable lauréat 2021 établi à partir des vainqueurs des 104 éditions, de 1913 à 2020

Copyright : Dr Jean-Pierre de Mondenard

L’Equipe ton histoire – La quotidien sportif se plante plus souvent qu’à son tour !

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Une fois de plus, il confond les mensurations d’une marathonienne avec celles d’une athlète spécialiste du 400 m

Salwa Eid Naser, la Bahreïnienne championne du monde du 400 m à Doah en octobre 2019, avec le 3e temps jamais réalisé par une femme sur le tour de piste, a été suspendue après trois no shows en moins d’un an. L’Equipe lui attribue les mensurations d’une marathonienne : 1,67 m / 50 kg, soit une différence de 17 points.

Un écart rencontré très fréquemment chez les spécialistes du fond et du grand fond. D’ailleurs, les deux femmes qui devancent Salwa Eid Naser sur le podium des meilleurs temps sur la distance, l’Allemande Marita Koch (47’’ 60 en 1985) et la Tchèque Jarmila Kratochvilova (47’’ 99 en 1983) n’ont pas vraiment un morphotype proche de Salwa.

 

Le quotidien L’Equipe est assez coutumier de ce genre de bévues. Elles discréditent les journalistes et consultants qui se prennent pour des experts alors que c’est aveuglant qu’ils n’y connaissent rien.

On comprend mieux pourquoi en Espagne, en Angleterre, en Italie… il existe plusieurs quotidiens sportifs alors qu’en France le seul présent est en manque de lectorat et en difficultés financières chroniques alors que son prix est élevé et sa pagination faible.

Rappelons que le 28 janvier 2019, le même journaliste Romain Donneux, s’était déjà planté de… 10 kg sur le poids de la sprinteuse Orlann Ombissa-Dzangue. Dans une cartouche figurant sous le nom de l’athlète, il avait donné : 1,68 m / 51 kg alors qu’en réalité sur une balance de précision, la sportive pesait 60,7 kg, soit un écart de 10 kg !

Ajoutons qu’il est rarissime qu’une sprinteuse du 60 au 400 m descende en-dessous de 60 kg de poids corporel. Précisons également que la graisse est un caractère sexuel secondaire et qu’elle est plus légère que le muscle, ce qui signifie qu’en faisant de la musculation, on peut maigrir tout en prenant du poids.