Dans ce blog, après avoir commenté la dérive des infiltrations pratiquées dans le tennis de haut niveau – autorisées sur les courts mais prohibées chez les cyclistes en phase de compétition – ainsi que le contrôle positif à la cocaïne du Biterrois, dû probablement à une contamination passive à son insu (il a été innocenté par le TAS), aujourd’hui nous abordons le physique des tennismen en constante évolution morphologique. De ”X”, ils sont passés à ”XXL” ! Compte tenu du parcours de Richard Gasquet, ayant débuté sa carrière professionnelle en 2002, depuis vingt ans il a vécu l’évolution de l’environnement, du jeu lui-même et de la taille des joueurs.
Son long et édifiant combat contre une contamination passive de cocaïne, à son insu – explication admise par le Tribunal arbitral du sport – doit être lu par tous les sportifs de compétition.
A Roland-Garros, en mai dernier, il a été beaucoup question des injections d’anesthésiques dans le pied gauche du Majorquin alors que cette méthode de soins n’a qu’un but : permettre au sportif d’aller sur le court et que cette thérapeutique ne soigne en rien le problème médical. Et cette pratique de Nadal qui s’apparente au minimum à une conduite dopante, perdure depuis 2005, soit dix-huit ans !
Un produit dopant dont les potentialités de contamination passive sont les plus nombreuses
Sportifs, en raison de vos relations intimes ou de votre entourage socio-professionnel, vous pouvez, à la suite d’une contamination passive, être contrôlés positifs sans avoir triché. Plusieurs exemples confirment ce mode de transmission involontaire. Décryptage.
“La triple peine” de la Suissesse pour une substance dont la contamination non intentionnelle est omniprésente dans de nombreuses activités en dehors du sport, sans que le compétiteur incriminé puisse se défendre avec des preuves; tout comme l’instance antidopage ne peut affirmer sur la seule base du contrôle positif qu’il y a eu triche intentionnelle.