Transgenres – Drôles de dames au départ des compétitions d’athlétisme…

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Un athlète de compétition, en changeant de sexe, malgré un traitement freinateur de testostérone, conserve des avantages, notamment morphologiques mais pas que sur les athlètes femmes cisgenres.

Dopage’Actu – Trois sports en première ligne : athlé (Kenya), rugby (Douglas Steele), tennis (Fernando Verdasco)

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Après l’affaire Festina  de 1989 et la sortie en bloc du Tour de France de Richard Virenque et ses équipiers, l’instance UCI et l’organisateur ASO nous ont ”gonflé le mou” en nous annonçant régulièrement pendant des années, au moment des voeux, que le Tour du Renouveau était arrivé. Sauf  que plus de vingt après, on est sûr de rien !

Dopage – Marathon – Pour les Africains de l’Est, les Hauts Plateaux ne suffisent plus !

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Depuis des décennies, les experts en physiologie nous expliquent que les Kényans dominent – du 3 000 m steeple au marathon – grâce à leur entraînement en altitude (2 000 à 3 000 m) sur les Hauts Plateaux de l’Afrique de l’Est.

Dopage ton histoire – Hommage à Gabriel Dollé, un médecin pionnier de l’antidopage rattrapé par la pression du sport de haut niveau

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Retour sur un parcours de vie consacré à traquer les tricheurs

Il peut  paraître non-approprié de participer à la défense d’un médecin qui venait d’être condamné pour corruption et attendait son procès d’appel. Mais, pour mémoire, Gabriel Dollé fut une figure incontournable de l’antidopage français et même mondial et seul, lui, connaissait les véritables raisons de son engrenage qui l’ont amené devant un tribunal. Pour participer à l’historique du dopage et de son contrôle depuis les premières lois édictées, rendons hommage à Gabriel Dollé en revenant sur son parcours professionnel

D’autres infos sur le parcours au service de l’antidopage de Gabriel Dollé

Dopage – Gel de testostérone : il n’y a pas que les cyclistes…

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l’athlétisme avec Alberto Salazar et le rugby avec Fabien Galthié ont eux aussi été confrontés aux applications illicites de testostérone par voie cutanée

DERNIERE HEURE – Le Dr Richard Freeman radié à vie par le Conseil de l’Ordre britannique 

Le 19 mars 2021, après une longue procédure étalée sur plusieurs mois, le Medical Practitioners Tribunal Service (MPTS) – le pendant anglais du Conseil national de l’Ordre des médecins français (CNOM) – a rendu sa décision concernant le cas du Dr Richard Freeman, médecin de l’équipe Sky de 2009 à 2015 et de la Fédération britannique de cyclisme de 2009 à 2017. Le couperet est tombé : radié à vie. Les juges ont considéré qu’une suspension n’était pas adaptée au comportement ”malhonnête” du médecin qui nie toujours avoir commandé des patches de testostérone pour doper un coureur en 2011. Ils ont au contraire estimé qu’il était ”approprié et proportionné” de le rayer de la liste des médecins autorisés à exercer.

COMMENTAIRES Dr JPDM – Comme je l’ai écrit dans l’article ”Pour la Sky l’étau se resserre” paru le 19 mars sur ce blog, le Dr Freeman est un lampiste qui paye pour l’ensemble de l’organisation Dave Brailsford, manageur emblématique de l’équipe anglaise aux sept victoires finales sur le Tour de France. Par ailleurs, on constate que le Conseil de l’Ordre britannique est beaucoup plus intransigeant que leurs collègues européens. Deux médecins dopeurs à grande échelle, les Drs Michele Ferrari et Eufemiano Fuentes, continuent à exercer. De même, en France, des toubibs épinglés par les enquêtes continuent leurs activités de thérapeute. Ainsi se vérifie une fois de plus l’adage : deux poids deux mesures. L’harmonisation se fera à la… St Glinglin.

L’Equipe ton histoire – La quotidien sportif se plante plus souvent qu’à son tour !

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Une fois de plus, il confond les mensurations d’une marathonienne avec celles d’une athlète spécialiste du 400 m

Salwa Eid Naser, la Bahreïnienne championne du monde du 400 m à Doah en octobre 2019, avec le 3e temps jamais réalisé par une femme sur le tour de piste, a été suspendue après trois no shows en moins d’un an. L’Equipe lui attribue les mensurations d’une marathonienne : 1,67 m / 50 kg, soit une différence de 17 points.

Un écart rencontré très fréquemment chez les spécialistes du fond et du grand fond. D’ailleurs, les deux femmes qui devancent Salwa Eid Naser sur le podium des meilleurs temps sur la distance, l’Allemande Marita Koch (47’’ 60 en 1985) et la Tchèque Jarmila Kratochvilova (47’’ 99 en 1983) n’ont pas vraiment un morphotype proche de Salwa.

 

Le quotidien L’Equipe est assez coutumier de ce genre de bévues. Elles discréditent les journalistes et consultants qui se prennent pour des experts alors que c’est aveuglant qu’ils n’y connaissent rien.

On comprend mieux pourquoi en Espagne, en Angleterre, en Italie… il existe plusieurs quotidiens sportifs alors qu’en France le seul présent est en manque de lectorat et en difficultés financières chroniques alors que son prix est élevé et sa pagination faible.

Rappelons que le 28 janvier 2019, le même journaliste Romain Donneux, s’était déjà planté de… 10 kg sur le poids de la sprinteuse Orlann Ombissa-Dzangue. Dans une cartouche figurant sous le nom de l’athlète, il avait donné : 1,68 m / 51 kg alors qu’en réalité sur une balance de précision, la sportive pesait 60,7 kg, soit un écart de 10 kg !

Ajoutons qu’il est rarissime qu’une sprinteuse du 60 au 400 m descende en-dessous de 60 kg de poids corporel. Précisons également que la graisse est un caractère sexuel secondaire et qu’elle est plus légère que le muscle, ce qui signifie qu’en faisant de la musculation, on peut maigrir tout en prenant du poids.