Enfin une décision éthique de bon sens des instances cyclistes d’outre-Manche : la testostérone n’est pas le seul paramètre qui fait la différence au niveau des aptitudes physiques entre un gars et une fille. A tous les pseudo-sociologues et autres experts à la manque du tout inclusif, nous leur proposons un récapitulatif de toutes les différences entre les deux sexes qui font que les ex-hommes doivent concourir dans une catégorie dite ouverte.
Un athlète de compétition, en changeant de sexe, malgré un traitement freinateur de testostérone, conserve des avantages, notamment morphologiques mais pas que sur les athlètes femmes cisgenres.
Un fidèle lecteur du blog, intrigué par une journaliste, ancienne championne cycliste à l’aspect masculin, présente en avant-course de ”Paris-Roubaix femmes” le 08 avril dernier – nous a interpellé sur les cas des transgenres féminins dans le vélo, à savoir ceux qui sont nés dans un corps masculin et qui, ensuite, après leur transition, veulent concourir chez les femmes.