Dopage – L’ostarine, un anabolisant mimant les effets ergogéniques des stéroïdes androgènes sans leurs conséquences négatives, est en passe de devenir la star des éprouvettes

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Les cas se multiplient. Le dernier en date concerne la fleurettiste tricolore Ysaora Thibus, âgée de 32 ans, vice-championne olympique par équipe à Tokyo en 2021

Transgenres – La Fédération britannique de cyclisme bannit les ex-hommes des compétitions féminines cisgenres

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Enfin une décision éthique de bon sens des instances cyclistes d’outre-Manche : la testostérone n’est pas le seul paramètre qui fait la différence au niveau des aptitudes physiques entre un gars et une fille. A tous les pseudo-sociologues et autres experts à la manque du tout inclusif, nous leur proposons un récapitulatif de toutes les différences entre les deux sexes qui font que les ex-hommes doivent concourir dans une catégorie dite ouverte.

Dopage ton histoire – Contamination passive : le sexe au rapport

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A la suite d’un contact sexuel non protégé, l’histoire du contrôle positif le 13 février dernier de la boxeuse américaine Virginia Fuchs – blanchie par l’Agence antidopage américaine (Usada) – semble pour le moins abracadabrantesque !

L’Agence américaine antidopage a innocenté une boxeuse sans que les explications mises en avant soient vraiment crédibles

Changement de sexe – Robert Millar, un cycliste professionnel devenu Philippa York, a subi cette transformation en 2007

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On nous l’apprend aujourd’hui comme étant une info de dernière minute.

En réalité, la presse en avait déjà parlé au début de l’année 2016. Sauf qu’aujourd’hui, depuis début juin 2017, elle a arrêté dans Cyclingnews de signer ses papiers Robert Millar pour les parapher dorénavant par Philippa York, sa nouvelle identité.

MILLAR

L’Equipe, 08 juillet 2017

C’est probablement le premier Géant du Tour (11 participations et 8 terminés) qui révèle ainsi sa transformation vers le ‘’sexe faible’’. Par ailleurs, ce n’est plus une étrangeté de croiser des homosexuels chez les sportifs mâles jouant au foot ou au rugby à très haut niveau ou qui pratiquent des sports de combat, mais la rectification subie par Robert Millar est beaucoup moins fréquente. Dans la même catégorie que l’Ecossais, le cas de Bruce Jenner, champion olympique du décathlon à Montréal en 1976 qui, depuis mai 2015, s’appelle Catlyn Jenner.

Or, dans ces sports – le cyclisme et les dix travaux d’Hercule des enceintes d’athlétisme – il faut un bon niveau de testostérone.

Visiblement, l’identité sexuelle ne dépend pas que de l’hormone mâle.

Pour mémoire, et contrairement à ce qui est écrit dans L’Equipe, Robert Millar a fait deuxième du Tour d’Italie 1987 et non 1986.