Pour preuve, il y a 70 ans, trois joueurs eux aussi diabétiques de type 1 figuraient dans le top 10. Encore un exemple où il ne faut pas compter sur un journaliste du sport de L’Equipe pour contribuer à la connaissance de l’histoire du tennis.
Après l’affaire Festina de 1989 et la sortie en bloc du Tour de France de Richard Virenque et ses équipiers, l’instance UCI et l’organisateur ASO nous ont ”gonflé le mou” en nous annonçant régulièrement pendant des années, au moment des voeux, que le Tour du Renouveau était arrivé. Sauf que plus de vingt après, on est sûr de rien !
Le 05 novembre 2022, en détaillant les blessures des joueurs du PSG encore indisponibles, Barroso cite le défenseur central Presnel Kimpembé handicapé par un problème au ”talon d’Achille”. En réalité, il s’agit évidemment du tendon d’Achille.
Dans ce blog, après avoir commenté la dérive des infiltrations pratiquées dans le tennis de haut niveau – autorisées sur les courts mais prohibées chez les cyclistes en phase de compétition – ainsi que le contrôle positif à la cocaïne du Biterrois, dû probablement à une contamination passive à son insu (il a été innocenté par le TAS), aujourd’hui nous abordons le physique des tennismen en constante évolution morphologique. De ”X”, ils sont passés à ”XXL” ! Compte tenu du parcours de Richard Gasquet, ayant débuté sa carrière professionnelle en 2002, depuis vingt ans il a vécu l’évolution de l’environnement, du jeu lui-même et de la taille des joueurs.
En raison des piètres connaissances de Thomas Brochut-Goddet sur son grand-père Jacques Goddet ainsi que sur le quotidien L’Equipe mais aussi et surtout sur l’histoire de la Grande Boucle !
L’Equipe du 4 juillet sort deux pages sur Perico en zappant à la fois sa violation des règles antidopage et les magouilles de l’UCI lui ayant permis d’être blanchi et de remporter le Tour de France 1988.