L’Equipe du 4 juillet sort deux pages sur Perico en zappant à la fois sa violation des règles antidopage et les magouilles de l’UCI lui ayant permis d’être blanchi et de remporter le Tour de France 1988.
En revanche, l’Espagnol lauréat du Tour de France 1988, malgré un contrôle positif à un masquant et une manipulation de la liste officielle par son compatriote-président de l’Union cycliste internationale (UCI), ne donne jamais une explication crédible sur son test positif au probénécide ni sur les soins pratiqués pendant ses treize saisons professionnelles.