En revanche, l’Espagnol lauréat du Tour de France 1988, malgré un contrôle positif à un masquant et une manipulation de la liste officielle par son compatriote-président de l’Union cycliste internationale (UCI), ne donne jamais une explication crédible sur son test positif au probénécide ni sur les soins pratiqués pendant ses treize saisons professionnelles.






