Dopage – Signes externes visibles et évocateurs de consommation d’amplificateurs artificiels de performance (4)

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L’examen clinique, un temps fort pour cibler un contrôle antidopage chez les sportifs ayant un comportement suspect ou un discours langue de bois.

Dopage – Football : la FIFA fait semblant de lutter… et ce n’est pas nouveau !

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Dernier exemple en date, le cas de Manuel Neuer, portier emblématique du Bayern Munich, hors des clous si le Code mondial antidopage était réellement appliqué.

Tennis – Rafael Nadal – L’infiltré à la xylocaïne a remporté son 14e Roland-Garros sans que les instances antidopage humaines ne s’en offusquent

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Alors qu’en milieu hippique c’est considéré comme du dopage et donc sanctionné.

De même, ce genre d’injections est prohibé dans le cyclisme depuis 2011.

Tennis – Rafael Nadal ignore-t-il la réglementation distinguant les soins des méthodes boostant la performance ?

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Subir une infiltration juste avant de pénétrer sur le court n’est-ce pas synonyme de dopage ?

Depuis 2011, les injections en compétition sont prohibées par certaines fédérations : UCI, FIS… mais pas par la Fédération internationale de tennis (FIT) ! Rafa ignore que jouer un match sous infiltration c’est pour le moins une conduite contraire à l’éthique thérapeutique régit par le serment d’Hippocrate. Ajoutons que depuis le 1er janvier 2022, cette pratique d’injection d’un glucocorticoïde juste avant une partie est totalement prohibée par l’Agence mondiale antidopage (AMA).

Dopage – Tennis : les infiltrations pour jouer un match c’est autorisé; en revanche pour pédaler en compétition, c’est interdit !

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Face à la compétition, l’éthique thérapeutique est souvent bafouée par les médecins eux-mêmes

Cyclisme – Participer à une compétition pour jouer la gagne alors que l’on est fiévreux, c’est prendre le risque que le coeur déraille…

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Le cas récent de Sonny Colbrelli est là pour nous rappeler qu’il vaut mieux s’abstenir  de forcer au décours d’une maladie infectieuse, surtout de type viral.

Le Belge Olivier Naesen rappelait que dans Paris-Nice, Sonny Colbrelli avait pris le départ de la Course au Soleil alors qu’il était malade. Dès la 2e étape, le coureur de la Bahrain Victorius était non-partant. Dans le journal Het Nieuwsblad, le classicman de l’équipe AG2R Citroën considérait que le dernier lauréat de Paris-Roubaix avait pris des risques : “Je savais que Colbrelli avait la grippe le premier jour de Paris-Nice et qu’il avait couru avec de la fièvre.” Dans la foulée de son abandon, Colbrelli a décidé de s’abstenir de participer à Milan-Sanremo, le premier Monument de la saison prévu treize jours plus tard, le 19 mars. Précisions que la grippe peut laisser des ”traces” plusieurs semaines après l’épisode initial.

Infiltrations – Piqûre de rappel sur les dérapages de la compétition

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où les injections antalgiques en nombre ont débuté dans les vestiaires des années 1950 et vingt ans plus tard le relais a été pris par les piquouzes de glucocorticoïdes

Contribution au décryptage des arcanes de la triche biologique

Très récemment, un joueur de foot a été amputé de la jambe droite, sous le genou, en raison de multiples infiltrations de glucocorticoïdes effectuées par des médecins. A propos de ce cas dramatique, en lisant la presse – notamment Le Parisien – on apprend d’un thérapeute exerçant à l’Insep depuis 1988 que cette pratique est “d’abord très culturellement implantée chez les Anglo-Saxons. En France, ce n’est pas quelque chose qui se pratique n’importe comment et qui n’est surtout pas automatique.” En contradiction avec cette vision optimiste, nous rapportons deux cas authentiques datant des années 1960 en France. L’un dans le foot, l’autre dans le rugby. Même si le produit en cause est un anesthésique et non un glucocorticoïde, le principe est le même : grâce à une ”piquouze miraculeuse” le seul but est de faire jouer un footballeur ou un rugbyman dont le corps n’a du tout envie d’être sur le terrain. Ce n’est pas de la thérapeutique. Aucun livre de médecine ne préconise ce geste dans l’environnement d’un match car cela s’apparente à du dopage.

 

Glucocorticoïdes – Un joueur de foot, Bruno Rodriguez, un ancien du PSG, amputé de la jambe droite pour surdose d’infiltrations pendant sa carrière (selon la presse)

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CONTRIBUTION AU DECRYPTAGE DES ARCANES DE LA TRICHE BIOLOGIQUE

Dans la presse de ces derniers jours : Le Parisien, L’Indépendant, L’Equipe, So Foot, etc. nous apprenons que Bruno Rodriguez, l’ancien joueur de foot professionnel de 1991 à 2006, a été amputé sous le genou droit le 08 mars dernier dans une clinique de Nancy. Selon Le Parisien, l’ancien buteur souffrait de douleurs chroniques invalidantes dues à des infiltrations subies durant sa carrière. Le quotidien national ajoute que Rodriguez avait déjà été opéré de la cheville, sans résultat.

Dopage – Jean-Marie Leblanc, patron du Tour de France de 1989 à 2006, ignorait tout sur les glucocorticoïdes et pourtant, se prenant pour un expert, il en causait à tort et à travers dans les médias

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Saga Jean-Marie Leblanc - 7e volet

Alors que ces médicaments euphorisants étaient omniprésents dans le peloton que JML a côtoyé de 1967 à 1971 et même pendant sa carrière de journaliste de 1971 à 1988, il ne savait pas qu’ils ne seront prohibés officiellement qu’en 1978 et décelables seulement 21 ans plus tard, en 1999. Ainsi pendant la carrière cycliste mais aussi de journaliste de JML – alors que le peloton carburait aux corticos – sur plusieurs milliers de contrôles il n’y aura aucun cas positif. Un stade de foot de 100 000 places ne serait pas suffisant pour accueillir tous les dopés aux corticoïdes testés négatifs.

Lutte antidopage – La grande imposture de l’AMA, une réalité aveuglante au fil des années

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L’Agence mondiale antidopage, depuis sa création en 1999 et cinq ans plus tard sa mainmise sur la liste des substances illicites, a libéralisé le dopage : la preuve en cinq points.