Illustré par ses propos sur le dopage difficiles à croire compte tenu de son parcours prolongé dans le milieu cycliste
Ce n’est pas ce qu’il ignore qui pose problème, c’est ce qu’il croit savoir et qui est faux
Décryptage : la preuve par 8




Saga Jean-Marie Leblanc - 7e volet
Saga Jean-Marie Leblanc – 6e volet
De sa période de journaliste à L’Equipe jusqu’à l’affaire Festina, soit pendant seize ans si l’on en croit ses écrits, Jean-Marie Leblanc (JML) s’est trompé de cible sur les véritables racines du survoltage artificiel. Etonnant pour un ancien coureur professionnel même de ”petit niveau” puis journaliste pendant dix-huit ans et enfin directeur de la Grande Boucle pendant une durée identique d’avoir un diagnostic manquant autant de pertinence.
5e volet de la saga JML
2e volet de la saga Jean-Marie Leblanc (JML)
Décryptage – En réalité, pendant la période post-Festina, JML – patron du Tour de France de 1989 à 2006 – n’a pas modifié d’un iota le cours du dopage dans le peloton. En raison de l’affaire Aderlass (saignée en allemand) couvrant les années 2011 à 2019 et révélant que l’on pouvait se doper sans se faire prendre par les radars analytiques de l’instance mondiale, pendant cette période on peut penser que si renouveau il y avait, il n’a pu débuter qu’après la dite affaire en 2020