Décryptage d’une imposture
Malgré une carrière de 35 ans (1963-2006) dans le milieu cycliste, Jean-Marie Leblanc (JML) joue au naïf pour faire croire qu’à son époque il n’y avait pas de dopage chez les amateurs, que les contrôles étaient infaillibles et les substances indécelables. Un fantasme qui selon lui ne deviendra réalité seulement qu’en 1990. Tous ces pseudo-arguments n’ont qu’un but : assurer sa défense pro domo (avocat de sa propre cause) pour nier le dopage du peloton des amateurs comme des pros afin de plaire à ses différents chefs hiérarchiques.




