Dopage – Jean-Marie Leblanc, patron du Tour de France de 1989 à 2006, ignorait tout sur les glucocorticoïdes et pourtant, se prenant pour un expert, il en causait à tort et à travers dans les médias

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Saga Jean-Marie Leblanc - 7e volet

Alors que ces médicaments euphorisants étaient omniprésents dans le peloton que JML a côtoyé de 1967 à 1971 et même pendant sa carrière de journaliste de 1971 à 1988, il ne savait pas qu’ils ne seront prohibés officiellement qu’en 1978 et décelables seulement 21 ans plus tard, en 1999. Ainsi pendant la carrière cycliste mais aussi de journaliste de JML – alors que le peloton carburait aux corticos – sur plusieurs milliers de contrôles il n’y aura aucun cas positif. Un stade de foot de 100 000 places ne serait pas suffisant pour accueillir tous les dopés aux corticoïdes testés négatifs.