Dopage – Une coureuse de fond épinglée au létrozole, un booster de testostérone impactant le rendement musculaire

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L’athlète est sanctionnée de 10 mois de suspension alors que le tarif prévu impose deux ans. L’Unité d’intégrité d’athlétisme (UIA), qui a géré le dossier, n’a pas révélé les raisons de cette mansuétude.

Dopage ton histoire – Six violations des règles : les mécomptes de Kim Andersen

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Récemment, nous avions montré que les tricheurs consommateurs de testostérone pris au contrôle antidopage ne pouvaient plus invoquer une sécrétion naturelle. Cette avancée due à un nouveau test dit rapport isotopique C13/C12, a été officiellement admise en 1999.

A la suite de cet article, nous avons reçu le commentaire de Hervé Mathurin, ancien journaliste à Sud-Ouest, spécialisé dans e cyclisme [envoyé spécial sur le Tour de France de 1980 à 2004 (25)] et rugby :

Dopage – Détection de la testostérone : depuis la mise au point d’un test spécifique les tricheurs ne peuvent plus invoquer la sécrétion naturelle

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A partir de cette date et la découverte de scientifiques français, le test IRMS dit isotopique épingle à coup sûr les fraudeurs invoquant une sécrétion endogène (naturelle). Encore faut-il qu’il soit pratiqué par les labos… Et c’est là où le bât blesse car il n’est pas effectué systématiquement : trop cher, trop long !