2 réflexions au sujet de « Dopage ton histoire – Alpinisme – Le toit du monde, l’Everest, tombe le 29 mai 1953, il y a 70 ans ! »
L’oxygéne…en 1978 il fallait déclarer préalablement auprès des autorités l’usage ou non de l’oxygène. La problématique de base, le nombre de sherpas a recruter pour monter les charges, les bouteilles, jusqu’au col sud (8000m). Ensuite, libre à ceux qui tentent le sommet d’en user ou pas. Me concernant, n’étant aller qu’à 6500m je n’en ai pas usé, il est vrai que je n’étais pas là pour aller au sommet mais étant journaliste pour narrer l’avancée de l’expédition conduite par Pierre Mazeaud sur les antennes de France Inter. jean Afanassief, Nicolas Jaeger, Pierre Mazeaud, Kurt Diemberger y ont eu recours, je dirai petitement mais suffisamment pour accomplir ce qui restera, à mes yeux, un exploit le 15 Octobre 1978, 1éré expédition française au sommet. L’oxygéne peut être considéré comme un « dopage » sauf que contrairement aux autres produits il n’attaque pas les tissus dont est composé le corps humain. Ceux que j’accompagnais n’ont pas usé d’autres produits pour avancer, par contre je peux vous dire que d’aucuns ont grillé des binis, cigarettes locales au sommet, pour marquer l’événement tout en répondant à mes questions depuis le sommet. Le dopage au sens propre et au sens figuré ne faisait pas partie de la philosophie de cette expédition qui avait parié sur une longue acclimatation, 270 kms de marche d’approche, de Lamosangu au camp de base à 5400m.
L’oxygéne…en 1978 il fallait déclarer préalablement auprès des autorités l’usage ou non de l’oxygène. La problématique de base, le nombre de sherpas a recruter pour monter les charges, les bouteilles, jusqu’au col sud (8000m). Ensuite, libre à ceux qui tentent le sommet d’en user ou pas. Me concernant, n’étant aller qu’à 6500m je n’en ai pas usé, il est vrai que je n’étais pas là pour aller au sommet mais étant journaliste pour narrer l’avancée de l’expédition conduite par Pierre Mazeaud sur les antennes de France Inter. jean Afanassief, Nicolas Jaeger, Pierre Mazeaud, Kurt Diemberger y ont eu recours, je dirai petitement mais suffisamment pour accomplir ce qui restera, à mes yeux, un exploit le 15 Octobre 1978, 1éré expédition française au sommet. L’oxygéne peut être considéré comme un « dopage » sauf que contrairement aux autres produits il n’attaque pas les tissus dont est composé le corps humain. Ceux que j’accompagnais n’ont pas usé d’autres produits pour avancer, par contre je peux vous dire que d’aucuns ont grillé des binis, cigarettes locales au sommet, pour marquer l’événement tout en répondant à mes questions depuis le sommet. Le dopage au sens propre et au sens figuré ne faisait pas partie de la philosophie de cette expédition qui avait parié sur une longue acclimatation, 270 kms de marche d’approche, de Lamosangu au camp de base à 5400m.
Témoignage d’Alain Ganne – journaliste à France Inter – participant à l’expédition française dirigée par Pierre Mazeaud à l’Everest en 1978.