CIO – Lutte antidopage : le message est de plus en plus mou

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Alors que les affaires de dopage se multiplient, notamment en Russie, au Kenya, au Maroc, en Jamaïque, le président du Comité international olympique (CIO) l’Allemand Thomas Bach – ancien champion olympique de fleuret par équipes en 1976 – n’arrête pas de temporiser et de ne pas prendre les décisions fortes qui s’imposent.

BACH

Il est certain qu’aucun président du CIO n’est la bonne personne pour combattre le dopage. On ne peut être à la fois patron de l’entreprise organisant le spectacle et en même temps le gendarme qui, par ses actions antidopage, pénalise la fête.

Cela fait cinquante ans que ce conflit d’intérêt existe, qu’il se renforce à chaque olympiade avec des droit TV exponentiels et que le dopage est toujours en pleine forme !

Merci, président Bach.