2 réflexions au sujet de « Marathon de New York 2019 »
Les 2.08.13 de Salazar avaient été établis sur le parcours de New-York,trop court à l’époque. Considérés un moment comme rdm, celui-ci deviendra la propriété de Rob de Castella, ayant réalisé 2.08.18 à Fukuoka la même année, au parcours étalonné.
Effectivement, le 25 octobre 1981, le marathon de NY ne faisait que 42,047 km ; il manquait 148 mètres à la distance mythique, soit 0,3%. Alberto Salazar avait dominé l’épreuve en mettant le second – le Finlandais Jukka Toivola – à 2’39’’ donc pas vraiment poussé à la lutte.
Ce qui m’a incité à écrire ce clin d’œil sur la victoire de Geoffrey Kamworor le 3 novembre dernier, c’est que 38 ans après – quasiment une génération et demie – le temps affiché au passage de la ligne est à la seconde près la même marque de 2 h 8’13’’. C’est rarissime de trouver à l’arrivée des temps identiques pour les lauréats sur la même course après un tel intervalle d’années. Ajoutons que d’autres paramètres influencent copieusement les temps sur les 26 miles 385 yards : la qualité de l’opposition, la température de l’air, le degré hygrométrique, le vent, le profil du parcours, l’énergie positive des runnings ; c’est pourquoi on ne doit jamais parler de record du monde mais de meilleure performance mondiale.
Les 2.08.13 de Salazar avaient été établis sur le parcours de New-York,trop court à l’époque. Considérés un moment comme rdm, celui-ci deviendra la propriété de Rob de Castella, ayant réalisé 2.08.18 à Fukuoka la même année, au parcours étalonné.
Effectivement, le 25 octobre 1981, le marathon de NY ne faisait que 42,047 km ; il manquait 148 mètres à la distance mythique, soit 0,3%. Alberto Salazar avait dominé l’épreuve en mettant le second – le Finlandais Jukka Toivola – à 2’39’’ donc pas vraiment poussé à la lutte.
Ce qui m’a incité à écrire ce clin d’œil sur la victoire de Geoffrey Kamworor le 3 novembre dernier, c’est que 38 ans après – quasiment une génération et demie – le temps affiché au passage de la ligne est à la seconde près la même marque de 2 h 8’13’’. C’est rarissime de trouver à l’arrivée des temps identiques pour les lauréats sur la même course après un tel intervalle d’années. Ajoutons que d’autres paramètres influencent copieusement les temps sur les 26 miles 385 yards : la qualité de l’opposition, la température de l’air, le degré hygrométrique, le vent, le profil du parcours, l’énergie positive des runnings ; c’est pourquoi on ne doit jamais parler de record du monde mais de meilleure performance mondiale.