Faisant suite à une réponse documentée, un simple merci est attendu et, au final, rien ne vient…

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La majorité des étudiants en journalisme sportif ou en droit du sport sont beaucoup plus éloquents pour me solliciter sur le dopage que de me remercier de ma réponse alors que cette dernière a nécessité un certain temps chronophage.

plume

Depuis quelques années, régulièrement, et même de plus en plus, je suis sollicité par des étudiants de tous niveaux : journalisme, droit et même 1re S afin de répondre à des questions générales sur le dopage. Mais aussi, en fonction de l’actualité soit sur une substance spécifique ou un thème bien particulier tel que :

·         les causes du fléau,

·         les instances antidopage sont-elles indépendantes,

·         faut-il libéraliser les drogues de la performance,

·         etc.

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Je réponds à toutes les demandes et pour certaines je fournis des articles écrits par mes soins ainsi que des bibliographies se rapportant au thème du mémoire de l’étudiant.

A ce jour, si je reçois un courriel de remerciement sur cent, c’est un grand maximum ! 

Je travaille de façon totalement indépendante, ne sollicite jamais aucune rémunération pour ce genre d’activité mais le comportement de ces jeunes étudiants n’est pas approprié à leur demande et cela ne donne vraiment pas envie de rendre service et ce d’autant que l’on est obligé au plan professionnel de décaler d’autres activités.