Florilège des arguments angéliques, minimalistes ou tout simplement bidons ou les forçats de la langue de bois…

Carton rouge puissance X
29 ARGUMENTS D’UNE PERTINENCE DÉRISOIRE :
« Les footballeurs français n’ont pas besoin de doping » (1953)
« Le doping est absolument incompatible avec la décontraction et la parfaite clairvoyance nécessaire à une équipe » (1954)
« Pour des raisons évidentes de morale et d’honnêteté, il n’y a jamais eu de dopage dans l’équipe de Saint-Etienne » (1973)
« Le dopage perturbe les qualités de réflexe et d’intelligence » (1974)
« Le football est un sport d’adresse » (1981)
« C’est un sport collectif… » (1981)
« Le mot dopage est ignoré dans le foot » (1982)
« Ce n’est pas un sport individuel… » (1985)
« Son sens collectif et tactique serait amoindri et sa technique affaiblie en cours de match »
(1986)
« La lucidité est un atout trop important pour s’en priver volontairement » (1986)
« Le dopage fait jouer à l’envers et marquer contre son camp » (1987)
« Les contrôles ont toujours été négatifs. C’est une preuve irréfutable » (1987)
« C’est une discipline saine » (1987)
« Les joueurs savent qu’en se dopant ils perdent une grande partie de leur lucidité » (1987)
« Le milieu du football est un milieu trop fermé pour que les choses de ce genre restent secrètes.
Si tel était le cas, tout le monde serait au courant » (1987)
« Je ne crois pas que ce soit utile dans un sport collectif » (1987)
« Le phénomène est rare » (1987)
« En quarante années de carrière, j’affirme que je n’ai jamais été confronté à des cas de dopage » (1994)
« Les footballeurs prennent parfois des stimulants. C’est normal. Mais ils utilisent des stimulants autorisés » (1994)
« Les joueurs de foot, à l’inverse des disciplines individuelles, doivent évoluer en équipe et dépendent de tous leurs partenaires. Pour cette raison, le dopage ne comporte pas beaucoup d’avantages » (1994)
« Les anabolisants doivent être utilisés plusieurs mois avant la compétition, souvent durant les préparations hivernales. Dans le foot où on joue douze mois sur douze, ce n’est pas possible »
(1996)
« Sport collectif où les aspects techniques et tactiques sont important, l’EPO ne présente guère d’intérêt » (1996)
« Je n’ai jamais entendu parler d’anabolisants dans le foot » (1997)
« Les anabolisants ne sauraient rendre un joueur meilleur » (1998)
« Le football n’est pas un sport de fond » (2002)
« Il n’existe pas de dopage organisé » (2002)
« Il est difficile de penser qu’il existe une substance capable d’influer sur toutes les variables physiques et mentales présentes chez un bon joueur » (2002)
« Le football n’est pas au sens physiologique un bon sport pour utiliser des anabolisants » (2002)
« Dans le football, le dopage ne sert à rien » (2004)
« Aucun produit ne transforme un mauvais joueur en bon joueur » (2004)