Dopage ton histoire – La revue de presse : des infos décodées par le Dr JPDM
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3 réflexions au sujet de « Dopage ton histoire – La revue de presse : des infos décodées par le Dr JPDM »
Bonjour
A l’époque, dit Bruyneel, “l’EPO était indétectable”.
Les tricheurs n’ont-ils pas toujours eu un temps d’avance sur la “police” ?
Quels sont aujourd’hui les produits indétectables ? !
Depuis la loi française antistimulants du 1er juin 1965 et de son décret d’application du 10 juin 1966, (publication de la liste des substances illicites), il existe à disposition des tricheurs des substances indétectables.
Dès cette époque, il était annoncé par la presse qu’une lutte antidopage efficace était impossible, voire inutile, en raison de l’existence de substances indétectables.
Aujourd’hui, même si la lutte est devenue plus performante, le milieu de la dope s’étant professionnalisé, l’écart n’a pas diminué entre les contrôleurs et les tricheurs.
Ainsi pendant toute la carrière du binôme Armstrong-Bruyneel de 1998 à 2005, l’EPO était indétectable voire difficilement repérable dans les urines.
En ce qui concerne votre deuxième question et pour des raisons faciles à comprendre, je ne peux diffuser sur mon blog des substances illicites non décelables.
Merci pour votre réponse.
J’ai envie maintenant de vous poser une question personnelle (question que je me pose à moi-même d’ailleurs, mais avec moins d’acuité) :
Comment se fait-il, compte-tenu de tout ce que vous savez sur le dopage, connaissant certainement le dessous de bien des cartes, que vous gardiez toujours la même passion (me semble-t-il) pour le sport cycliste particulièrement ?
Bonjour
A l’époque, dit Bruyneel, “l’EPO était indétectable”.
Les tricheurs n’ont-ils pas toujours eu un temps d’avance sur la “police” ?
Quels sont aujourd’hui les produits indétectables ? !
Depuis la loi française antistimulants du 1er juin 1965 et de son décret d’application du 10 juin 1966, (publication de la liste des substances illicites), il existe à disposition des tricheurs des substances indétectables.
Dès cette époque, il était annoncé par la presse qu’une lutte antidopage efficace était impossible, voire inutile, en raison de l’existence de substances indétectables.
Aujourd’hui, même si la lutte est devenue plus performante, le milieu de la dope s’étant professionnalisé, l’écart n’a pas diminué entre les contrôleurs et les tricheurs.
Ainsi pendant toute la carrière du binôme Armstrong-Bruyneel de 1998 à 2005, l’EPO était indétectable voire difficilement repérable dans les urines.
En ce qui concerne votre deuxième question et pour des raisons faciles à comprendre, je ne peux diffuser sur mon blog des substances illicites non décelables.
Merci pour votre réponse.
J’ai envie maintenant de vous poser une question personnelle (question que je me pose à moi-même d’ailleurs, mais avec moins d’acuité) :
Comment se fait-il, compte-tenu de tout ce que vous savez sur le dopage, connaissant certainement le dessous de bien des cartes, que vous gardiez toujours la même passion (me semble-t-il) pour le sport cycliste particulièrement ?