2 réflexions au sujet de « Dopage ton histoire – Le carphédon, un stimulant russe, revient dans l’actualité football »
Pourtant, Danilo Hondo était choisi par la fédération Suisse pour l’entrainement des espoirs (!) et pour être sélectionneur des élites de 2017 à 2019 et… le 12 mai 2019, Hondo reconnait avoir utilisé les transfusions sanguines en 2011, méthode proposée par le médecin Mark Schmidt, au centre d’un vaste réseau de dopage et de l’opération Aderlass14. Il est immédiatement licencié par Swiss Cycling15.
La règle de l’UCI interdisant aux coureurs ayant été impliqués dans une affaire de dopage à exercer une fonction quelconque dans le staff d’une équipe cycliste date du 17 juin 2011, donc l’Allemand Danilo Hondo – si on se réfère à son cas positif au carphédon lors du Tour de Murcie le 04 mars 2005 – a échappé à cette règle de l’instance internationale. Sauf qu’en mai 2019, il reconnait s’être dopé en 2011 suite à des propositions d’un médecin allemand. Il s’agissait du même réseau que celui utilisé par Johannes Dürr, le skieur de fond qui avait fait des aveux en janvier 2019 et déclenché la mise au jour d’un vaste réseau de dopage dite « opération Aderlass » (saignée en allemand), démantelée par les polices autrichienne et allemande. Le vainqueur de deux étapes du Tour d’Italie en 2001 a reconnu trois ou quatre transfusions sanguines, méthode effectuée par le médecin Mark Schmidt. Les aveux n’ayant eu lieu qu’en mai 2019, Hondo a pu dans l’intervalle assurer pour la Fédération suisse la direction sportive des espoirs de 2015 à 2019 puis des élites de 2017 à 2019. Comme vos le signalez, il a été licencié dans la foulée de ses aveux par Swiss Cycling.
On constate une fois de plus que les instances du vélo ne sont pas très regardantes sur le pédigrée de leurs entraîneurs mais la règle du 17 juin 2011 ne pouvait lui être appliquée compte tenu que les aveux de Hondo sur son dopage en 2011 datent de mai 2019.
Pourtant, Danilo Hondo était choisi par la fédération Suisse pour l’entrainement des espoirs (!) et pour être sélectionneur des élites de 2017 à 2019 et… le 12 mai 2019, Hondo reconnait avoir utilisé les transfusions sanguines en 2011, méthode proposée par le médecin Mark Schmidt, au centre d’un vaste réseau de dopage et de l’opération Aderlass14. Il est immédiatement licencié par Swiss Cycling15.
La règle de l’UCI interdisant aux coureurs ayant été impliqués dans une affaire de dopage à exercer une fonction quelconque dans le staff d’une équipe cycliste date du 17 juin 2011, donc l’Allemand Danilo Hondo – si on se réfère à son cas positif au carphédon lors du Tour de Murcie le 04 mars 2005 – a échappé à cette règle de l’instance internationale. Sauf qu’en mai 2019, il reconnait s’être dopé en 2011 suite à des propositions d’un médecin allemand. Il s’agissait du même réseau que celui utilisé par Johannes Dürr, le skieur de fond qui avait fait des aveux en janvier 2019 et déclenché la mise au jour d’un vaste réseau de dopage dite « opération Aderlass » (saignée en allemand), démantelée par les polices autrichienne et allemande. Le vainqueur de deux étapes du Tour d’Italie en 2001 a reconnu trois ou quatre transfusions sanguines, méthode effectuée par le médecin Mark Schmidt. Les aveux n’ayant eu lieu qu’en mai 2019, Hondo a pu dans l’intervalle assurer pour la Fédération suisse la direction sportive des espoirs de 2015 à 2019 puis des élites de 2017 à 2019. Comme vos le signalez, il a été licencié dans la foulée de ses aveux par Swiss Cycling.
On constate une fois de plus que les instances du vélo ne sont pas très regardantes sur le pédigrée de leurs entraîneurs mais la règle du 17 juin 2011 ne pouvait lui être appliquée compte tenu que les aveux de Hondo sur son dopage en 2011 datent de mai 2019.