Lance Armstrong, du temps de sa gloire, brocardait à ”tours de roues” ses accusateurs

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Lance Armstrong

 

Avant ses aveux de dopage, Lance Armstrong (LA) brocardait ses accusateurs :

  • Les scientifiques : « Ils ne distinguent pas la droite de la gauche»
  • LA Confidentiel, livre coécrit par Pierre Ballester et David Walsh et publié en 2004 aux éditions de La Martinière : « Des vraies conneries »

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.  Avant sa sortie du peloton en 2011, Lance Armstrong n’avait confiance dans les tests antidopage uniquement lorsqu’ils étaient négatifs. En revanche, la présence d’EPO dans ses urines du Tour 1999 analysées rétroactivement en 2004 par le labo antidopage français (LNDD) ne lui convenaient plus – alors que jusque là LA louait le professionnalisme du LNDD – et là ipso facto après la révélation par L’Equipe en août 2005 des violations des règles antidopage, le Yankee faisait passer subitement la structure analytique française de la première place mondiale au statut de lanterne rouge des labos estampillés Comité international olympique.

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Le laboratoire national de dépistage du dopage (LNDD) basé à Chatenay-Malabry (92)