Pourquoi ne pas faire contrôler les sportifs pro tous les mois , cela éviterait les excuses bidons des no shows et on pourrait ainsi avoir un suivi plus serré du sportif…
Réponse Dr JPDM – De contrôler tous les mois les sportifs – à date fixe – serait un retour à plus de laxisme.
C’est justement parce que les pros de la dope sont suffisamment pointus pour faire des cures d’EPO, d’anabos, etc. en s’organisant pour être négatifs le jour du test antidopage.
En réalité, seuls les contrôles à l’improviste (inopinés) sont capables de piéger et d’épingler les adeptes des cures de substances illicites.
Le véritable renforcement de la peur des no-shows est de rendre la sanction plus dissuasive. Rappelons que feinter un contrôle dans les suites immédiates d’une compétition (a posteriori) porte le nom de carence et entraîne ipso facto une suspension équivalente à celle d’un test positif.
Le système des no-shows (trois en douze mois depuis 2015) autorise les sportifs à tricher au moins deux fois sans être sanctionnés. Il faut attendre une troisième violation des règles pour une mise à pied de un à deux ans. Si, dès la deuxième, ils ‘’prenaient’’ quatre ans, ils seraient beaucoup moins nombreux à détraquer la sonnette, ne pas écouter leur répondeur, mettre leur portable sur silencieux ou aller faire leurs courses de Noël à l’heure indiquée par eux-mêmes sur leur système de loaclisation ADAMS.
Camel Bag = vélo électrique cette grosse méprise journalistique n’a pas échappé à l’oeil attentif du Doc
Pourquoi ne pas faire contrôler les sportifs pro tous les mois , cela éviterait les excuses bidons des no shows et on pourrait ainsi avoir un suivi plus serré du sportif…
Réponse Dr JPDM – De contrôler tous les mois les sportifs – à date fixe – serait un retour à plus de laxisme.
C’est justement parce que les pros de la dope sont suffisamment pointus pour faire des cures d’EPO, d’anabos, etc. en s’organisant pour être négatifs le jour du test antidopage.
En réalité, seuls les contrôles à l’improviste (inopinés) sont capables de piéger et d’épingler les adeptes des cures de substances illicites.
Le véritable renforcement de la peur des no-shows est de rendre la sanction plus dissuasive. Rappelons que feinter un contrôle dans les suites immédiates d’une compétition (a posteriori) porte le nom de carence et entraîne ipso facto une suspension équivalente à celle d’un test positif.
Le système des no-shows (trois en douze mois depuis 2015) autorise les sportifs à tricher au moins deux fois sans être sanctionnés. Il faut attendre une troisième violation des règles pour une mise à pied de un à deux ans. Si, dès la deuxième, ils ‘’prenaient’’ quatre ans, ils seraient beaucoup moins nombreux à détraquer la sonnette, ne pas écouter leur répondeur, mettre leur portable sur silencieux ou aller faire leurs courses de Noël à l’heure indiquée par eux-mêmes sur leur système de loaclisation ADAMS.