Textes et documents inédits : une exclusivité du blog JPDM
Depuis 1900, nous avons trouvé plusieurs publicités de médicaments mis au point par des médecins dont le seul objectif est de ”soigner” la forme des sportifs bien portants.
Aujourd’hui, et même depuis l’affaire Festina en juillet 1998, cela s’appelle une conduite dopante. Cette dernière correspond à la consommation de substances prohibées ou non dans le seul but de performer alors que le sportif ne présente aucune pathologie quelconque nécessitant la prise d’un médicament.
Finalement, on médicalise la performance sans que pour l’athlète, en dehors de sublimer son rendement, il n’y ait la moindre justification à prendre une potion accélératrice.









passionnant et documenté.
Commentaires de Jacques Nardin, vétérinaire engagé dans la lutte antidopage animale –
Quand le praticien humain ou vétérinaire médicalise la performance sans que pour l’athlète, humain ou animal en dehors de sublimer son rendement, il n’y ait la moindre justification à prendre une potion accélératrice de bienfaits à obtenir !
Posons nous la question du bienfait de la prescription ( médicale, alimentaire et autre . Qu’elle que soit la forme de galénique variée ) de notre thérapeute
Pour une performance optimisée : Traitement ou dopage ???
Florilège d’exemples