Antidopage – Dans le cas du lutteur Zelimkhan Khadjiev, on constate que les instances s’acharnent en priorité sur le sportif et non exclusivement contre le dopage. Son parcours face aux règles en est un exemple consternant.

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Le Vastarel®, la substance incriminée, est un produit non-dopant confirmé par l’absence d’études scientifiques. Les informations de prévention du dictionnaire Vidal et de la notice du médicament lui-même – pourtant obligatoires selon la directive du ministère de la Santé – sont inexistantes mais au final c’est seulement le sportif qui est sanctionné – ici lourdement – en prenant 4 ans de suspension. En revanche, les laboratoires pharmaceutiques malgré leur non-respect de la réglementation de prévention, eux, ne sont jamais mis en cause ni condamnés !

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