AMA – Préserver la santé des sportifs n’est pas l’objectif principal de son directeur Olivier Niggli, un juriste de formation, en réalité un pseudo-spécialiste du dopage

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Comment peut-on être nommé directeur de l’Agence mondiale antidopage (AMA) alors que l’on a zéro compétence sur la triche biologique ?

2 réflexions au sujet de « AMA – Préserver la santé des sportifs n’est pas l’objectif principal de son directeur Olivier Niggli, un juriste de formation, en réalité un pseudo-spécialiste du dopage »

  1. Bravo Docteur, ce que vous faites est trés courageux et il faut bien entendu éviter de franchir la ligne jaune quand on s’exprime sur de grands champions de tennis qui ont des débauches d’énergie hallucinantes pendant plusieurs heures et plusieurs jours de la quinzaine. Il est assez aberrant que ce soient les fédérations nationales ou internationale de tennis qui se chargent du contrôle antidopage: tuer la poule aux œufs d’or serait le comble de l’absurdité.

  2. Voici une excellente analyse que je partage volontiers et un constat accablant de la main-mise de la lutte anti-dopage au niveau mondial par l’AMA qui ne remplit ainsi pas son rôle de leader de façon crédible.
    Ce directeur juriste devrait savoir se taire lorsqu’il s’agit de sujets en dehors de sa compétence et son plaidoyer est pitoyable.
    Il y a beaucoup à critiquer dans le fonctionnement de l’AMA actuel. Malgré des promesses d’ouverture et de transparence, on assiste malheureusement à des prises de positions plus stratégiques et politiques que scientifiques. Dans ce cadre, il est scandaleux de maintenir les raisons des décisions concernant de la présence ou non de substances et/ou méthodes sur la liste des interdictions à ce point confidentielles.
    Il manque actuellement un organisme de contrôle, représentatif, crédible et indépendant, qui puisse s’exprimer à loisir sur ce thème.

    Merci pour votre apport qui nourrit sans relâche cette thématique préoccupante.

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    Dr JPDM
    Laurent Rivier – De nationalité suisse, chimiste et toxicologue de formation, il exerce en tant que consultant scientifique indépendant. Par le passé, il a été à la fois responsable du laboratoire de toxicologie analytique dès 1984 et directeur scientifique du Laboratoire suisse d’analyse du dopage (LAD) à l’Institut universitaire de médecine légale de Lausanne dès sa création en 1990 et cela jusqu’à fin 2001.

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