Tour de France – 45 histoires fausses qui ont la vie dure

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Une toute petite partie de la documentation de Jean-Pierre de Mondenard

 

Ces ouvrages et journaux, parfaitement accessibles en accéléré, m’ont permis d’écrire livres et articles en nombre. Le temps passé sans compter a contribué à me faire acquérir une meilleure connaissance de la machine et de son pilote, notamment pendant les 103 éditions du Tour de France.

La majorité de la littérature consacrée à la Grande Boucle l’a été par des ‘’historiens approximatifs’’. Tout au long de mes recherches, j’ai sélectionné 45 histoires vraiment fausses, bidonnées, incomplètes ou fantaisistes.

Pour ceux qui s’attachent aux faits plutôt qu’à la légende ou aux histoires romancées, je leur propose l’énumération argumentée d’un panel de 45 histoires fausses qui ont la vie dure !

Au fil du temps, d’autres viendront enrichir la liste.

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Natation – La FINA confirme par son laxisme qu’elle n’est pas la bonne entité pour lutter efficacement contre le dopage

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Moins d’un mois après la fin des Jeux de Rio 2016 (5 – 21 août) trois membres de la direction des contrôles antidopage (DCRB) de la Fédération internationale de natation (FINA) jettent l’éponge pour avoir été désavoués par l’Uruguayen Julio Maglione, le président de l’Institution sportive de tutelle depuis 2009 et ancien nageur de compétition.

 

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Julio Maglione, président de la FINA

 

En cause : les effets collatéraux de l’épidémie de cas positifs au meldonium dans le sport russe. Faisant suite au rapport McLaren démontrant le dopage d’Etat dans toutes les spécialités sportives du pays dirigé par Vladimir Poutine, le Comité international olympique recommande à toutes les fédérations internationales – natation comprise – de faire recontrôler par un ’’organisme crédible’’, en dehors du territoire russe, l’ensemble des athlètes de ce pays.

Au final, les 37 nageurs russes sélectionnés par leur fédération, ont été accrédités à Rio sans être testés par une structure indépendante, d’où la démission des trois experts antidopage dont le président canadien Andrew Pije qui, au contraire, souhaitaient une expertise analytique beaucoup plus pointue pour l’ensemble des nageurs.

Les Fédérations internationales nous ‘’gavent’’ de leur commission indépendante antidopage mais ignorent leurs recommandations de fermeté dès qu’il faut trancher dans le vif en éliminant les éléments phare de son sport (ici les nageurs russes) !

Une fois de plus, la preuve est donnée que l’antidopage doit être retiré du milieu sportif et notamment des fédérations internationales, FINA en tête.

fina