[publié le 10 décembre 2016]
L’enquête dirigée par le juriste canadien démontrant que l’ensemble du sport russe est vérolé par le dopage enfonce des portes ouvertes. Tout cela, on le sait depuis plus de…
60 ans.
En revanche, le responsable du statu quo, du marasme, des affaires qui s’enquillent à l’infini, c’est bien sûr le Comité international olympique (CIO).
Un conglomérat de gens pour la plupart élus par leurs copains et jamais démissionnés pour leur incapacité à affronter sérieusement le problème de face.

Une session des membres du CIO
Aujourd’hui, c’est la Russie, demain les Etats-Unis, après-demain la France, etc. Quel gâchis…Depuis plus de soixante ans, on attend sans trop y croire qu’un organisme international réellement indépendant du monde du sport mette le holà à cette mascarade.
Rappelons que la responsabilité politique des principaux dirigeants de la planète commence avec le refus de savoir.