[publié le 20 février 2017]
En 1958, les footballeurs, sans se cacher, se subliment à la mi-temps.
Artificiel ou naturel, tout est bon pour vaincre.
Aujourd’hui, selon les instances du ballon rond, le dopage serait inexistant !
Langue de bois ou naïveté pathologique ?
L’Argentin Omar Sivori, naturalisé italien en 1961, ballon d’or la même année, absorbe de l’oxygène à la mi-temps – Sport et Vie, 1958, n° 30, novembre, p 28
De nos jours, c’est dans les chambres d’hôtels ou dans les vestiaires – à l’abri des regards – que les footeux avec leur staff pratiquent les « mises à (top) niveau »