[publié le 30 juin 2017]
Dans le Parisien Magazine, supplément du Parisien du 30 juin 2017, la journaliste Gaétane Morin – la même qui a recueilli les propos de Bernard Laporte dans deux ouvrages récents (2015 et 2016) – s’intéresse à l’emblématique champion de la petite reine, le Belge Eddy Merckx.
Malheureusement, on comprend qu’elle ne connaît rien au cyclisme et à l’anatomie du corps humain. Elle passe en revue les faits marquants de la carrière du Cannibale. En 1974. Il prend le départ du Tour après une opération récente au périnée (zone en contact avec la selle). Dès le prologue de Brest, la cicatrice s’ouvre et saigne. Merckx s’en rend compte en enlevant son cuissard tâché de sang.
Pour l’envoyée spéciale du Parisien à Meise (Belgique) chez le quintuple lauréat du Tour – qui a probablement mal entendu en écoutant son dictaphone – le cuissard est devenu le… dossard. Pourquoi pas ! Sauf que l’on ne met pas le dossard sous les fesses mais… dans le dos.
Le Parisien Magazine, supplément du Parisien, 30 juin 2017, p 39