asthme
Dopage – L’affaire Froome démontre que l’on peut – grâce au salbutamol – doper la respiration avec les doses préconisées par l’AMA que l’on soit asthmatique ou non !
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Dans le dictionnaire Vidal 1972 – Premier RCP du salbutamol (Ventoline aérosol) commercialisé courant 1971

Dr Jean-Pierre de Mondenard – Dopage – L’imposture des performances. – Paris, éd. Chiron, 2000. – 287 p (pp 52-53)
En complément d’informations : fiche complète du Dictionnaire du dopage sur le salbutamol (seule la réglementation a été mise à jour)
Cyclisme – Ce sport aux exigences ventilatoires exceptionnelles est-il la cause de l’épidémie d’AUT (autorisation des médicaments antiasthmatiques) ou l’alibi pour se doper légalement ?
Par défautCyclisme – Depuis 1991 (soit 27 ans), 28,6% des vainqueurs du Tour ont remporté l’épreuve en étant considérés asthmatiques par les instances
Par défautDopage – Froome : on sait depuis le début des années 2000 (17 ans !) qu’il y a plus d’asthmatiques chez les sportifs d’endurance que dans la population générale
Par défautPunchline Dr de Mondenard
Par défautN° 37
La loi du silence.
Le dopage est traité dans les médias nationaux (L’Equipe, le Monde, Libé, etc.) par des journalistes ayant comme caractéristique première d’être des ‘’analphabètes du corps’’ et de n’avoir jamais suivi un cursus pour prescrire des médicaments.
A partir de là, comment peuvent-ils sérieusement commenter des affaires de dopage où les substances pharmacologiques sont au cœur du débat. Quand Bradley Wiggins défend la légitimité de son AUT en expliquant qu’il soigne son asthme avec des injections de triamcinolone, aucun journaliste français ne relève l’erreur thérapeutique.
Au final, pour être désinformé sur le dopage, lisez la presse nationale !

L’Equipe, 26 septembre 2016
Y-a-t-il un médecin à la Sky pour nous expliquer depuis quand on soigne l’asthme par une injection intramusculaire de triamcinolone ?