Dopage – L’affaire Froome démontre que l’on peut – grâce au salbutamol – doper la respiration avec les doses préconisées par l’AMA que l’on soit asthmatique ou non !

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ventoline

Dans le dictionnaire Vidal 1972 – Premier RCP du salbutamol (Ventoline aérosol) commercialisé courant 1971

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L'IMPOSTURE DES PERFORMANCES

Dr Jean-Pierre de Mondenard – Dopage – L’imposture des performances. – Paris, éd. Chiron, 2000. – 287 p (pp 52-53)

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En complément d’informations : fiche complète du Dictionnaire du dopage sur le salbutamol (seule la réglementation a été mise à jour)

SALBUTAMOL et apparentés

 

Dopage – Froome : on sait depuis le début des années 2000 (17 ans !) qu’il y a plus d’asthmatiques chez les sportifs d’endurance que dans la population générale

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EXLICATIONS –

Sur la base de plusieurs travaux scientifiques, j’avais écrit dans le bimestriel Sport et Vie (n° 64, janvier-février 2001) que le sport de haut niveau n’était pas forcément bon pour la santé des voies respiratoires.

Punchline Dr de Mondenard

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N° 37

 La loi du silence.

Le dopage est traité dans les médias nationaux (L’Equipe, le Monde, Libé, etc.) par des journalistes ayant comme caractéristique première d’être des ‘’analphabètes du corps’’ et de n’avoir jamais suivi un cursus pour prescrire des médicaments.

A partir de là, comment peuvent-ils sérieusement commenter des affaires de dopage où les substances pharmacologiques sont au cœur du débat. Quand Bradley Wiggins défend la légitimité de son AUT en expliquant qu’il soigne son asthme avec des injections de triamcinolone, aucun journaliste français ne relève l’erreur thérapeutique.

Au final, pour être désinformé sur le dopage, lisez la presse nationale !

 

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L’Equipe, 26 septembre 2016

 

Y-a-t-il un médecin à la Sky pour nous expliquer depuis quand on soigne l’asthme par une injection intramusculaire de triamcinolone ?