Une fois de plus, la triche est récompensée grâce à… l’Union cycliste internationale (UCI) et ses règles mal ficelées
Les anciens consommateurs de substances illicites ont plus de chance de rebondir après leur carrière sportive en obtenant un poste de directeur sportif, de manageur ou de consultant TV alors que ceux qui ont respecté les règles rament à contre-courant pour décrocher un poste équivalent.






Intéressant ! Un inventaire des anciens coureurs contrôlés positifs ou ayant reconnus s’être dopés, engagés dans les équipes actuelles serait révélateur d’un cyclisme professionnel extrêmement conservateur de ses secrets…
On pourrait ajouter les commentateurs radio-télévisés. Exemple Jalabert, si emprunté à l’antenne quand le sujet dopage vient sur le tapis.
je suis étonné par le courage avéré du Docteur Mondenard qui s’expose – même s’il dit vrai – à des poursuites où la preuve sera difficile à apporter: ce qui est un lieu commun dans les affaires de dopage. Le tennis est vraisemblablement un monument dans le monde du dopage et personne ne s’étonne que les principales têtes d’affiche aient séché les JO de Tokyo pour des raisons futiles à l’exception notable de Djokovic qui a, une fois n’est pas coutume, perdu. Les contrôles antidopage étant organisés par les instances des JO plutôt que par les fédérations nationales ou internationales de tennis pourraient ils être une explication?
Dr JPDM – Dans le listing de “l’offre d’emploi de directeur sportif” à d’anciens dopés, il est précisé dans la tableau que tous les 18 ont été testés positifs et sanctionnés ou sont passés aux aveux.
Et Hinault avec ça boite à biscuit sur les 6 jours.
La preuve que le dopage ne choque pas ou peu dans le milieu cycliste donc toujours pleinement d’actualité