Froome
Dopage – Dossier Froome : la responsable du pataquès c’est l’AMA et sa mauvaise gestion des doses de salbutamol autorisées et non… l’Anglais !
Par défautDopage – L’affaire Froome démontre que l’on peut – grâce au salbutamol – doper la respiration avec les doses préconisées par l’AMA que l’on soit asthmatique ou non !
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Dans le dictionnaire Vidal 1972 – Premier RCP du salbutamol (Ventoline aérosol) commercialisé courant 1971

Dr Jean-Pierre de Mondenard – Dopage – L’imposture des performances. – Paris, éd. Chiron, 2000. – 287 p (pp 52-53)
En complément d’informations : fiche complète du Dictionnaire du dopage sur le salbutamol (seule la réglementation a été mise à jour)
Dopage – Cyclisme – David Lappartient n’a qu’une idée fixe : éliminer Froome. Est-ce pour laisser la place à Romain Bardet ?
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Cyclosport Magazine, 2013, n° 86, mai, p 90
Dopage – Froome : on sait depuis le début des années 2000 (17 ans !) qu’il y a plus d’asthmatiques chez les sportifs d’endurance que dans la population générale
Par défautTour de France – Hold-up : Froome dans la roue d’Armstrong…
Par défaute Texan, grâce au dopage, a entubé le Tour de France de sept levées entre 1999 et 2005 ; la Sky avec l’aide des gains marginaux (Autorisation d’usage à des fins thérapeutiques (AUT) de complaisance pour Bradley Wiggins et éléments aérodynamiques pour Chris Froome, sans oublier en 2016 sa chute dans le Ventoux sans conséquence de temps par la grâce des officiels) est en passe d’en chiper cinq entre 2012 et 2017.
Cyclisme, ton éthique se fait la malle
Dans le contre-la-montre de Düsseldorf (14 km), Chris Froome a utilisé des éléments aérodynamiques favorisant le CX (bandes de vortex recouvertes de petites billes d’air disposées aux épaules et aux bras). Les spécialistes leur attribuent un gain sur cette étape de 20 à 25 secondes ! Soit un temps équivalent à celui qui sépare le Britannique du Français Romain Bardet (23 sec.) à l’entame de la 20e étape, le contre-la-montre décisif de Marseille (22,5 km).
L’Equipe de ce jour nous dit que Froome, selon l’article 10 du règlement, est tenu pour cette épreuve chronométrée de porter le maillot jaune tel qu’il est fourni par l’équipementier de l’organisation, le Coq Sportif. A priori, avec ce maillot de leader, Froome sera donc à armes égales avec Bardet et Uran.
Chris Froome, à Düsseldorf, au départ de la première étape du Tour de France 2017, porteur du maillot ‘’aérodynamique’’ de l’équipe Sky
Plus ça change, plus c’est la même chose
Par ailleurs, les commissaires s’acharnent avec leurs scanners et autres caméras thermiques à surveiller les vélos du Tour à la recherche de systèmes créant une énergie capable de faire avancer la machine avec un effort musculaire moindre. Résultats des courses : aucun vélo n’est suspect.
Malgré leurs efforts sophistiqués et coûteux, les garants de l’éthique à la mode UCI ne trouvent rien de répréhensible sur les machines alors qu’ils restent les bras ballants face à la triche aérodynamique de la Sky qui, à l’inverse, est pourtant aveuglante.
Comme le dit si bien le journaliste David Walsh : « Plus ça change, plus c’est la même chose ».
POST-IT
Pour toute innovation technique, cette dernière devrait être expertisée par l’UCI avant de la libéraliser à toutes les équipes
Tour de France – La Sky est pistonnée par l’organisateur
Par défautAvec la bénédiction d’ASO, on est passé des “gains marginaux” aux “gains maximaux”
Depuis 2012, les médias nous parlent en continu de la recherche scientifique du staff de l’équipe Sky pour la traque des « gains marginaux » (plateau ovoïde, boisson énergétique aux corps cétoniques, maillots à la fois anti UVA et anti UVB, surmatelas personnalisé accompagnant les coureurs tout au longe de l’épreuve) mais grâce à l’organisateur ASO, Froome et ses équipiers ne dédaignent pas les « gains maximaux ».

L’Equipe, 17 juillet 2016
L’escorte de gendarmerie est réservée à Froome et ses boys
C’est le leader de Cannondale, Pierre Rolland, qui s’insurge contre un avantage considérable en terme de récupération spécialement réservé à Froome et ses boys :
Dans une course à étapes telle que la Grande Boucle, le problème n° 1 c’est la récupération. Or, le temps passé dans les embouteillages après une arrivée, notamment en altitude, peut induire des temps de récupération totalement différents entre les pistonnés et les autres.
Récemment, dans Cyclosport magazine, je m’étais insurgé contre cet avantage accordé aux cadors du peloton initié par Lance Armstrong et son hélicoptère privé qui l’attendait aux arrivées en altitude. Ce genre d’avantage est injuste et au final ne fait que favoriser la triche.

Cyclosport Magazine, 2015, n° 106, juin