Dopage féminin – Comme pour les hommes, les excuses-bidon prédominent !

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La cycliste professionnelle Marion Sicot en attente d’un jugement pour diffamation et d’une sanction sportive alourdie pour dopage à l’EPO, avait, dès son contrôle positif le 27 juin 2019, nié le dérapage intentionnel en raison de ses valeurs morales d’éducatrice et expliqué la présence d’EPO en excès dans son corps par la concomitance de ses règles le jour du prélèvement.

Dopage – Tennis – L’Américaine Varvara Lepchenko contrôlée positive au modafinil, un stimulant cérébral

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prend 4 ans de suspension par la Fédération internationale de tennis (ITF)

Le modafinil, inventée par les Français au début des années 1990 est un stimulant cérébral dit aussi dopant de l’acuité intellectuelle. Il booste à la fois la vigilance, la concentration, la résistance au sommeil et la vélocité locomotrice.

Dopage – La triche biologique est efficace ! Un énième témoignage s’ajoute aux expertises scientifiques validées.

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Un skieur de fond constate qu’il obtient 30 secondes de bénef sur 30 minutes de course, soit un gain de 1,7%.  C’est suffisant pour grimper dans la hiérarchie !

 

Or, par un effet pendulaire, pendant de nombreuses années, les tenants de l’antidopage ont nié mordicus la moindre efficacité aux substances illicites alors qu’aujourd’hui, rares sont ceux qui croient encore à cette fable.

Tour de France ton histoire – Contre-enquête inédite sur la naissance de l’épreuve la plus mythique du cyclisme mondial

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Acte de naissance enregistré le 20 novembre 1902 sous la houlette de trois pères fondateurs

Géo Lefèvre, inspirateur de la mythique épreuve par étapes

Victor Goddet (le père de Jacques), le bailleur de fonds

Henri Desgrange, l’architecte-bâtisseur-décideur

Géo Lefèvre, l’inspirateur d’un Tour de France à étapes et directeur des deux premières éditions 1903-1904
Victor Goddet, cofondateur et administrateur du Tour de France : le financier
Henri Desgrange, patron de L’Auto de 1903 à 1940 et du Tour de France de 1903 à 1939

Dopage – Télévision et triche biologique : des liaisons dangereuses

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Prévention – Les chaînes de télévision sont-elles légitimes pour dénoncer le fléau et diffuser des programmes contribuant à mettre en garde les sportifs alors que la médiatisation fait partie des deux principales causes de la consommation de substances illicites ?

D’après l’Arcom (ex-CSA), entre le 1er janvier 2020 et le 29 juillet 2021, L’Equipe 21 n’a diffusé aucun programme contribuant à la lutte contre le dopage alors que c’est une obligation législative depuis le 17 mai 2017.

Dopage – Une star du cyclocross masculin épinglé au létrozole. Quésaco ?

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Inhibiteur de l’aromatase permettant d’augmenter la duré d’action de la testostérone ou de ses dérivés et leur cortège d’effets favorables sur le rendement musculaire.

Malheureusement pour Toon Aerts, trois fois 3e des Championnats du monde des labours en 2019, 2020 et 2021, le létrozole est prohibé depuis 2004 et facilement détectable dans les liquides biologiques.

Considéré par certains pseudo-scientifiques comme un masquant de testostérone [si tel était le cas, dans la liste des produits interdits du Code mondial antidopage, il serait classé dans la catégorie masquants]  étant très facilement repérable par les radars analytiques, il ne peut même pas se masquer lui-même !

Dopage – A l’inverse des humains qui se subliment volontairement avec des médocs de la performance, les animaux de compétition sont boostés à leur insu.

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Florilège (non exhaustif) de cas de volatiles, lévriers, chameaux, taureaux et autres éléphants qui, pour satisfaire l’égo et le compte en banque de leurs propriétaires, sont chargés comme… des mules !

Cyclisme – Remco Evenepoel s’insurge contre les gravelles errantes désignant une portion de chaussée non goudronnée, recouverte de petits cailloux

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En raison d’une panne de jambes, Remco perd pied dans les gravelles (*)

Des photos témoignent que la présence de gravelles sur les grandes compétitions, ce n’est pas nouveau.

 

Transgenre – Un nageur de compétition, en changeant de sexe – malgré un traitement freinateur de testostérone – conserve un avantage sensible sur les nageuses nées femmes

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Les instances doivent revoir leur copie pour que le processus de transition ne laisse pas une domination excessive aux femmes transgenres

PARADOXE – Alors que les autorités sportives mondiales pourchassent depuis des décennies le dopage hormonal exogène, là, avec le cas de Lia Thomas qui a changé de sexe, elles légalisent – malgré une opération pour le moins non naturelle – la supériorité du passé hormonal endogène masculin de Will qui a forcément laissé en héritage des atouts morphologiques, biologiques et physiologiques à Lia, la nouvelle ondine des bassins. Au motif du  »tout inclusion », on bafoue morale et surtout éthique sportive.

Dopage ton histoire – Contribution des médecins aux conduites dopantes ou comment médicaliser la performance en s’affranchissant de l’éthique médicale…

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Textes et documents inédits : une exclusivité du blog JPDM

Depuis 1900, nous avons trouvé plusieurs publicités de médicaments mis au point par des médecins dont le seul objectif est de  »soigner » la forme des sportifs bien portants.

Aujourd’hui, et même depuis l’affaire Festina en juillet 1998, cela s’appelle une conduite dopante. Cette dernière correspond à la consommation de substances prohibées ou non dans le seul but de performer alors que le sportif ne présente aucune pathologie quelconque nécessitant la prise d’un médicament.

Finalement, on médicalise la performance sans que pour l’athlète, en dehors de sublimer son rendement, il n’y ait la moindre justification à prendre une potion accélératrice.